Une sélection de motifs comme autant de points de digression possibles.
… un carnet carnet précieux pour la suite …
… apprivoiser les lignes préférées de William Morris & co, pour les décliner en gouache, pastel et procreate… les intégrer au reste, les simplifier encore un peu plus… voir ce qui se transforme (le charme des étapes) et les recomposer en motifs “seamless” plus tard.
Pas d’idée précise de ce qui va sortir de ce processus là.
Avant de commencer à construire un pattern j’apprécie d’explorer un theme floral, de me questionner en croquis sur la manière dont les feuilles varient d’une espèce à l’autre, comment représenter et/ou transformer ces variations . Comment les feuilles se présentent d’une espèce à l’autre: la forme des leurs fleurs, de leur feuilles (dentée, crénelée, lobée, incisée..etc), leurs perspectives imaginées… Ça me permet de trouver mes propres lignes, de me les approprier par répétition. A ce stade je ne me projette pas sur les futurs agencements du motif . Lorsque le moment de construire la répétition du motif arrive le design des fleurs est deja pensé. il reste à le positionner sans penser aux formes des fleurs
Parfois je me dis que je gagnerai du temps à trouver intuitivement les formes du motif à répéter en le réalisant, d un seul geste mais le processus par étape est satisfaisant. Il permet travailler les lignes plus en conscience et inclue un travail d’observation pour éventuellement s’en éloigner.
Before designing new pattern tiles, I took this habit of making time for exploring color sets I might not have chosen if relying only on my taste or intuition. So I had a look at my favorite pattern designer palettes.
it is good exercice for self challenging our mental color scheme.
J’aime tellement les illustrations de Katie Scott !
Elles sont très connues. Vous les avez au moins croisées. Magnifique travail de precision et d’harmonie, texturé juste comme il faut. Son univers est une sorte de cabinet de curiosités botanique. Herbier géant ordonné et sauvage à la fois.
“Autodidacte, Katie n’a jamais étudié la botanique. Ses premiers dessins botaniques étaient des plantes nées de son imagination qu’elle traduisait sur papier. Cela lui a permis d’asseoir son style, ce qui l’a ensuite amenée à travailler aux côtés de botanistes sur des illustrations plus précises”
Honeysuckle is a fascinating subject for graphic design and art in general, providing endless possibilities for creating visually engaging and meaningful works.
Honeysuckle plants are climbers and often have long, entwining vines that create complex and dynamic shapes. These twisting and turning vines can form intricate patterns that are visually captivating.The way the vines wrap around structures or other plants can create interesting visual compositions and a sense of movement.
The leaves of honeysuckle are typically arranged in opposite pairs along the stems. This regular pattern can create a pleasing and harmonious visual rhythm.The leaves themselves are often simple and oval-shaped, providing a contrasting backdrop to the more complex flowers and vines.
A force parcourir les livres de patterns tels que : William Morris , artist craftsman Pioneer , j avais plein de chèvrefeuilles parmi mes images mentales. Il fallait que ça sorte en motif. Voila!
Aucun intérêt à le faire mais c’ est un excellent bouquin, un bon équilibre entre contexte géographico-historique et collections des patterns des plus illustres aux moins familiers. On se rend aussi compte que dans la firme Morris, Marshall, Faulkner & Co, la company est importante à découvrir … J’en parlerai un de ces jours…
Le genre de bouquin vers lequel on revient très souvent: un livre de table de salon ou de table de chevet. II passe peu de temps sur des étagères
The Bacchante, 1853 is a painting by Jean-Léon Gérôme ( French painter and sculptor in the style now known as academicism. The range of his oeuvre included historical painting, Greek mythology, Orientalism, portraits, and other subjects, bringing the academic painting tradition to an artistic climax.)
A Bacchante in Roman mythology is a female follower of Bacchus, god of wine and intoxication. In Greek mythology, they are called Maenads. … Bacchantes are depicted as mad or wild women, running through the forest, tearing animals to pieces, and engaging in other acts of frenzied intoxication.
This painting or the bacchantes were not really my inspiration for the underneath portrait … some mental imagery are overlapping…
I thought there would be more paintings representing woman with rams’s horns other that this one from Jean Leon Gerome ( biography in French here)
La duchesse Zinaida Yusupova était une noble russe née le 23 septembre 1861 et décédée le 24 novembre 1939. Elle était membre de la famille aristocratique Yusupov, l’une des familles les plus riches et influentes de la Russie impériale. Zinaida était la fille du prince Boris Yusupov et de la princesse Tatiana Alexandrovna.
La famille Yusupov était connue pour ses vastes richesses et sa participation à la vie sociale et culturelle de la Russie. Zinaida Yusupova s’est mariée avec le prince Felix Yusupov en 1889. Felix Yusupov est devenu célèbre pour sa participation à l’assassinat de Raspoutine, conseiller mystique de la famille impériale russe, en 1916.
La vie de Zinaida Yusupova a été marquée par la Révolution russe de 1917, qui a entraîné la chute de la monarchie et la disparition de la noblesse russe. Après la révolution, elle a vécu en exil en France avec son mari. La duchesse Zinaida Yusupova a survécu à de nombreux changements politiques en Russie et a vécu une vie tumultueuse jusqu’à sa mort en 1939.
George Sand est le pseudonyme d’Amantine Aurore Lucile Dupin de Francueil, baronne Dudevant, romancière, auteur dramatique, critique littéraire française et journaliste.
J’ai trouvé cette photos sur pinterest avec pour seul ‘credit’: “two pals, 1920”. C Tout!
L’idée de travailler a partir de photos est de reprendre les lignes de l’image, l’énergie de la composition et progressivement au fil du dessin, se l’approprier sans trop y penser.
ici C’était un peu comme ‘croquer’ la connivence entre ces deux ‘guys’
image finale faite avec procreate en utilisant le pinceau : sketching – HB pencil
#inspiration #reproduction: vient d’un coffret du XIV s, décor gravé & incrusté d’argent- metal coulé et martelé, vu dans l’exposition (“CARTIER ET LES ARTS DE L’ISLAM. AUX SOURCES DE LA MODERNITÉ du 21 octobre 2021 au 20 février 2022)
Français: J’avais dessiné (avec procreate) des fleurs que je voulais fragiles et texturée pour compléter ma reserve de” fleurs pour futur motifs sans coutures” bref des patterns. Le rendu était si kitch que j’ai eu envie de les poser sur de la porcelaine pour qu’elles se sentent dans leur élément.
English: I wanted to draw (avec procreate) some fragile and textured flowers to complete my stock of “flowers for future seamless patterns” . The rendering was so kitsch that I wanted to put them on porcelain surface for them to feel at ease.
(FR) Voilà, le berger intemporel est de retour! – Je pensais avoir quelques difficultés à me remettre dans le projet (projet vieux de 4 ans abandonné selon la formule consacrée pour ” raison de santé”… et autres aléas associés.
On retrouve alors des lignes (physionomie du caractère essentiellement) que l’on a tellement tourbillonnées et entortillées qu’elles sont restées en sommeil au bouts des doigts, comme une “sub-mémoire” graphique.
L’attaque (Oh le terme guerrier en toute exagération !) se fait par la page qui m’avait posée quelques problèmes alors, celle où le personnage s’inquiète tellement que son visage s’allonge jusqu’au nombril. Le dilemme étant que lorsque on allonge le visage d’un enfant, il devient ado voir une sorte de freak qui ne ‘match’ pas avec le reste des image du livre.
Quoi qu’il en soit, c’est un sentiment agréable que celui de finaliser les choses, ne plus laisser trop d’énergie vitale et créatrice se dissoudre dans l’air.
***
(ENGL) That’s it! The timeless shepherd is back! – I thought I would have some difficulties to get back into this project (a 4 years old project abandoned for “health reasons” and other associated hazards). I once swirled the lines of the main character in so many directions that they remained dormant at my fingertips, like a graphic “sub-memory”.
I just resumed the drawing by a rather problematic page to me, the one where the character is so worried that his face stretch down to to the belly button.
The dilemma is that when you lengthen a child’s face, he starts to look like a teenager or some kind of freak that does not match the rest of the story.
At the end of the day, it feels quite good to carry on and aiming at finalising a project in which we believe.
Les plus jeunes aiment tellement Halloween qu’ils ont l’enthousiasme communicatif (je ne suis pas fan de l’évènement. Peu de gens se déguisent dans nos contrés ardéchoises et je ne peux m empêcher d’y voir la formidable vague marketing qui déferle sur nous depuis les années 90 – C’est embêtant! ).
L’année prochaine on préparera mieux l’évènement pour entrer dans l’ambiance sans trop acheter de morceaux de plastiques (quelques idées sont déjà sous le coude/ Pinterest ici).
Ici, sur la photo, on est tombées par hasard dans la boite de déguisements (Halloween seules dans nos têtes…pour être sûres d’avoir notre instant H)… parce que le soir même, lorsque les enfants parcourent la campagne, presque personne ne réagit au “trick or treat”, et préparent encore moins des bonbons à distribuer.
Il faudrait réfléchir à une manière de fêter Halloween qui nous aille mieux, (européens non anglo-irlandais que nous sommes) et surtout que les enfants s’y retrouvent pour qu’il aient l’impression d’un “trick or treat” réussit!
Quand on y pense, proposer une alternative impossible,”des bonbons ou un sort”, dont on sort forcément vainqueur…par le biais de l’épouvante , c’est super drôle quand même! On devrait y arriver…
On pourrait imaginer un flyer municipal plein de citrouilles pour inviter les gens à mettre quelques bonbons ou gâteaux de coté, peut être?
... et si une mamie leur offrait des gâteaux mous, tout droits sortis de la boite de “quality street” ou un bonbon octogolal menthé (AH les Vichis), on ne ferait pas la moue… !!!!! D’accord?
Originaire des îles Anglos-Celtes Halloween est célébrée dans la soirée du 31 octobre, veille de la fête chrétienne de la Toussaint. Son nom est une contraction de l’anglais All Hallows-Even qui signifie the eve of All Hallows’ Day en anglais contemporain et peut se traduire comme « la veille de tous les saints » ou « la veillée de la Toussaint ».
En dépit de son nom d’origine chrétienne et anglaise, la grande majorité des sources présentent Halloween comme un héritage de la fête païenne de SAMAIN qui était célébrée au début de l’automne par les Celtes et constituait pour eux une sorte de fête du nouvel an. Halloween est ainsi connue jusqu’à nos jours sous le nom de Oíche Shamhna en gaélique. Elle est une fête très populaire en Irlande, en Écosse et au Pays de Galles où l’on trouve de nombreux témoignages historiques de son existence. Jack-o’-lantern, la lanterne emblématique d’Halloween, est elle-même issue d’une légende irlandaise.
C’est à partir du VIIIe siècle, sous le pape Grégoire III (731-741) et, au siècle suivant, sous le pape Grégoire IV (827-844), que l’église catholique déplaça la fête de la Toussaint, qui pouvait se fêter jusqu’alors après Pâques ou après la Pentecôte, à la date du 1er novembre, christianisant ainsi la fête de Samain.
La fête d’Halloween est introduite aux États-Unis et au Canada après l’arrivée massive d’émigrants irlandais et écossais notamment à la suite de la Grande famine en Irlande (1845-1851). Elle y gagne en popularité à partir des années 1920 et c’est sur le nouveau continent qu’apparaissent les lanternes Jack-o’-lanterns confectionnées à partir de citrouilles, d’origine locale, en remplacement des navets utilisés en Europe.
Halloween est aujourd’hui célébrée principalement en Irlande, en Grande-Bretagne, aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande et, dans une moindre mesure, dans de nombreux autres pays. La tradition moderne la plus connue veut que les enfants se déguisent avec des costumes effrayants à l’image des fantômes, des sorcières, des monstres ou des vampires et aillent sonner aux portes en demandant des friandises avec la formule : Trick or treat ! qui signifie « des bonbons ou un sort ! ».
Minotaure du trocdelile d’Ales (association d’images mentales C tout)
Plus le temps passe plus j’aime les portraits, les regarder, les faire, les imaginer: ceux griffonnés vite faits et ceux un peu plus aboutis, ceux en couleurs aplaties lisses des amis Adobe, ceux des musées qui m’épatent ou me glacent…etc.
J’aime cette fausse immobilité, j’aime quand dans l’expression d’un visage se concentre l’action compressée d’une vie, d’un récit non officiel, non reconstruit.
Mes portraits sont souvent si pensifs, tellement en introspection qu’il en sont un peu tristes. Je voudrais changer cela mais je m’en souviens toujours trop tard; lorsque la moue est fixée. Ainsi la reine a l’air de trouver sa couronne trop lourde. Elle préfèrerait être ailleurs. Ces faux portraits, sans codes ou portrait pas officiels du tout, en façon doodle, restaurent un équilibre. Telle est mon expérience tout au moins.
Inktober est une opportunité de s’organiser des séances de doodles chaque jour avec des thèmes qui nous décentrent un peu de nos habitudes graphiques. L’idéal aurait été de remplir complètement ”le contrat” d’un dessin par jour. Je suis très très loin du bout du compte! Je n’ai souvent pas su trouver le temps pour dessiner, et après des pauses involontaires, je me sentais auto exclue de l’expérience, sortie du rythme inhérent au projet.
Une fois acceptée l’idée que je ne serai pas, cette année encore, une véritable “inktober girl”, je me suis sentie libre de piquer ça et là des thèmes. Plutôt que de dessiner directement, je me baladais sur Wikipedia, je notais des infos sur le mot du jour (ou des jours précédents, selon l’humeur) pour en faire un exercice un peu différent …m’inspirant:
en apprenant des choses insensées sur des plantes toxiques …
en découvrant des légendes sur les baleines chez inuits …
en me familiarisant avec la prise de note dessinée, un grand bonheur!
en me re-connectant avec l’esprit du doodle, un peu délaissé, j’ai répété une forme simple pour l’étaler sur les pages du carnet, pour sympathiser avec des lignes sans l’injonction du “Joli” et du “fini”!
Mon emploi du temps (petite révolution organisationnelle qui fait du bien 🙂 ) de rentré est serré, tellement serré que je n’arrive pas à m’y conformer complètement. Pour autant, il remplit bien son rôle de maitre des horloges bienveillant- Bravo à lui!
A mon petit désarroi, il ne reste plus de temps pour les Fridas … pour le moment.
(angl) I add a tiny touch of digital color to some elements of my sketchbook so that it become a roughly edited sketch:
a series called “sketchbook exploration“
(Fr) J ai décidé de commencer une nouvelle série d’imprimés petit format appelée”sketchbook exploration” où j’ajoute une légère touche à certaines pages de mon carnets de croquis pour les habiller un peu.
Tout commence par un doodle, une femme qui parle avec la nature. Elle se pose des questions sur la beauté, la sienne et celle du monde.
Quand on coupe et qu’on duplique des morceaux du dessin, il nous échappe et révèle parfois un sens a posteriori: une extension de l’humeur du départ, ou tout simplement un ajout, du nouveau.
J’aime beaucoup ces vacances urbaines, éclaires, concentrées en musées, en déambulations expresses.
Du Marseille du pourtour du port, on revient avec du bleu dans la tête, des photos d’amphores remontées à la surface par des pourvoyeurs d’histoires, des bateaux contemporains et toutes sortes de vaisseaux mi-réels mi-imaginaires qui s’entrechoquent, images mentales hybrides et cahotiques, car on ne lit pas tout les petits encarts, trop techniques, pour les déambulateurs distraits que nous sommes!
Ils étaient comment ces phocéens? Des Grecques, c’est sûr! des colons pilleurs, sortes de pirates et marchands?
Des marins grecs originaires de la ville de Phocée qui fuyaient les invasions perses de cette époque. En arrivant, ils furent frappés par la ressemblance de la calanque de Lacydon (qui correspond aujourd’hui au célèbre Vieux-Port) avec leur ville d’origine et c’est pour cette raison qu’ils ont décidé de s’y installer.
“A partir de 600 av. J.-C., les Phocéens vont fonder, en plus de Massilia (Marseille), une multitude de comptoirs sur l’actuelle Côte d’Azur : Olbia (Hyères), Antipolis (Antibes), Nikaïa (Nice), ainsi que des bases en Corse (Aléria) et en Espagne. De nombreux Phocéens viendront se réfugier dans ces colonies, après la conquête de leur ville par les Perses vers 540 av. J.-C.”
Sometimes I write in english (sorry for the grammatical and syntactic errors). It is a remnant from the time I lived abroad and got used to communicate with non-francophones people. Sometimes I write in french, it depends on my mood, with no logical approach….
Houses in my sketchbook are still my best connection with childhood, mine and others … drawing houses, drawing cosiness, the one we experiment as well as the one we dream about!
*
I can’t help wondering what do the refugees children recently arrived in France draw? I saw this drawing on the net, a house and “HELP” written next to it.
Browsing through a few of their drawings, it seems that quite often, there is no house at all but water, plenty of water with people struggling in the middle surrounded by empty boats.
As a former social worker, I remember when children don’t feel like drawing their dreams anymore because the abusive reality is too invasive, too brutal, they draw their reality. We, Adult, generally get shocked by it. They only draw what they see. Their reality is shocking.
*
I also remember how drawings and colors change, once children feel safe again – How livid faces change, cheeks turn pink again. All the traumas remain to be taken care of, but the feeling of being secure makes room for further healing and other themes for their drawings.
Digression du Doodle: Gazelle – Afrique – masque – Cornes – Belier … et quelque maladresses telles que le nez de la gazelle qui ressemble à un bec – Pourquoi pas ? – #oiseaugazelle ! – #gazelleoiseau !
Par monts et par vaux, un carnet dans le sac pour puiser, plus tard, une fois de retour, matière à composition graphiques et motifs répétitifs (seamless pattern) – D’autant qu’il se chuchote que mélanger des gazelle et des oiseaux – c’est possible!
Si l’on veut rester plus proche de la proposition de la nature, il y a cependant de quoi nourrir des heures de “moments doodle” avec des gazelles car toutes ne se ressemblent apparemment pas – c’est Wiki qui le dit!
(FR) J’ai dessiné des oiseaux, puis je me suis rendue compte qu’ils ressemblaient un peu aux paons, libres et enamourés tout autour – #Neotsemadar
*
(ENG) I drew some kind of long legged birds, then I realised they quite look like the peacocks freely wandering around us while looking for their love ones in the bright light of the breeding season – #Neotsemadar
Appartenant à la famille des Phasianidae, grande famille qui regroupe perdrix, cailles, faisans, paons ainsi que les espèces apparentées.
Oiseaux terrestres (mais pouvant voler), les paons ont le corps dodu, un bec court et solide, et des ailes arrondies. Le mâle est reconnaissable à son beau plumage, sa longue traine et sa huppe.
le plumage du mâle est singulièrement brillant. Ses couleurs sont d’un bleu-vert et violet avec des reflets métalliques au niveau de sa tête, de son cou et de sa poitrine. Les plumes de sa queue, pouvant atteindre jusqu’à 1,5 mètre de longueur, sont d’un beau vert métallique avec des reflets bleus et de couleur bronze, formant des tâches évoquant un œil (elles sont appelées ocelles)
First contact with lettering variation / SECONDARY SCHOOL
Essaie de lettrage / ECOLE SECONDAIRE
(EN) Time flew by so fast! Two hours is such a short time to indulge ourself with graphic digressions around writing. At least, the children got to realise that shaping and organising letters is not as easy as it looks like.
(FR) Deux heures , c’est trop court pour se laisser aller à des digressions graphiques autour de l’écriture. Les enfants se sont, de fait, rendu compte de l’apparente facilité de l’exercice. Jouer avec le tracé des lettres et les organiser les unes par rapport au autres, tout en ne cassant pas le côté relaxant du moment doodle: pas si simple 😉
(EN) Today was the doodle monster day with a groupe of 7 children from 10 to 14 y.o. We sat around a large table and start drawing. I really enjoyed it. It was both quiet and interactive.
*
(FR) C’était le jour du Doodle autour des monstres plutôt gentils. J’ai beaucoup aimé ce moment avec un groupe d’ado et pré-adolescents, suffisamment tranquille pour ouvrir la brèche aux digressions graphiques et assez interactif pour papoter par dessus les lignes.
Certain enfants préfèrent passer deux heures à perfectionner un dessin… d’autres, en revanche, investissent plus en avant l’esprit Doodle et se laissent aller à saisir tout ce qui passe pour en faire des lignes, sauter d’une image mentale a une autre.
Le thème, le matériels, les dessins des autres enfants et ceux du classeur d’inspiration sont autant de stimulis créatifs qui font de ce “Moment Doodle” un spectacle ravissant.
J ai décidé de commencer une nouvelle série d’imprimés petit format appelée”sketchbook exploration” où j’ajoute une légère touche photoshop à certaines pages de mon carnets de croquis pour les habiller un peu.
FR: J ai décidé de commencer une nouvelle série d’imprimés petit format appelée”sketchbook exploration” où j’ajoute une légère touche photoshop à certaines pages de mon carnets de croquis pour les habiller un peu.
(ANGL) I add a tiny touch of digital color to some elements of my sketchbook so that it become a roughly edited sketch:a series called “sketchbook exploration“
(FR)J ai décidé de commencer une nouvelle série d’imprimés petit format appelée”sketchbook exploration” où j’ajoute une légère touche photoshop à certaines pages de mon carnets de croquis pour les habiller un peu.
Angl / I add a tiny touch of digital color to some elements of my sketchbook so that it become a roughly edited sketch: a series called “sketchbook exploration“
FR / J ai décidé de commencer une nouvelle série d’imprimés petit format appelée”sketchbook exploration” où j’ajoute une légère touche photoshop à certaines pages de mon carnets de croquis pour les habiller un peu.
Sometime I like the sketchbook page rough as it is. Other times, I like it with just a tiny touch of Photophop or Illustator. It might become a more accomplished image … or not.
(FR)
Parfois j’aime les pages de mes “sketchbook” brutes. D’autres fois, comme ici, j’aime y ajouter une petite touche de Photoshop ou Illustrator. ça donne un dessin un peu plus aboutis … ou pas.
I like to show my sketchbook to the children from the workshop as well as a ring binder where I collect all kinds of inspirational images I found on the net, mainly on Pinterest.
I found it paramount to practice on my own prior to meeting with the kids, so that I can foresee the troubles kids might experience during the workshop.
Recently, I really fell in love with the work of two amazing artists: Olaf Hajek and Luisa Rivera.
The esthetical emotion I felt when facing their Work met my new desire to include more natural elements in my drawing, precisely more tropical nature (for some unknown reasons).
The connection between the botanical elements and the body within this two artist’s artwork deeply moved to me.
As, I started to practice, and filled my sketchbook with those winding and imperial stems, inspired by the charisma of orchids, enjoying the dynamic shapes of roots and flower bulbs…
I am still standing at the doodle stage – hope to reach the mix media process soon – get a hand from “photoshop” and “illustrator” 😉
I also felt that, connected with people, those natural elements would be a magnificent way to express the emotions of the characters I would draw and particularly things that happen to the body such as happy feelings as well as illness which can overtake it in various proportions. I will post about it soon.
L’émotion esthétique que j ai ressenti face à leur travail a rejoint mon envie d’inclure d’avantages d’éléments botaniques dans mes dessins, des éléments tropicaux plus précisément.
Dans le travail de ces deux artistes, la connection entre les éléments naturels et le corps m’a beaucoup ému. J’ai ainsi commencé à remplir mes carnets avec ces sinueuses et impériales tiges, inspirée par le charisme des orchidées, les racines volantes et les bulbes floraux !
J’en suis, pour l’heure, au stade du gribouillage libre – papier/crayons – j’espère passer à l étape suivante bientôt, un peu de “Photoshop” par ci, un peu “Illustrateur” par là…
J’ai aussi beaucoup aimé, chez ces deux artistes, l’association “nature tropicale” et “corps”; une manière puissante d’exprimer les emotions des personnage et plus particulièrement toutes ces choses qui se passent dans le corps, ces emotions heureuses mais aussi ces maladies qui peuvent éventuellement l’envahir dans des proportions diverses. Je posterai à ce sujet bientôt.
Doodle workshop project outlines / Contours du projet de l’atelier Doodle
(ENGL)
This “doodle book” Workshop is about Learning with the children how to make, step by step, a doodle-book – create, with them, a practical and esthetic base for further creations (cards, posters, books…) or not – most fo the time not – a doodle may remain a doodle, beautiful as it is!
Lisa Congdon doodling manifesto, that you can find on her web site inspired and helped me to organise the workshop: I relied on it as a guideline (I selected and summarised a few points that sound paramount and add my own points as well) to outline the workshop.
I love Lisa Congdon‘s work because I can feel the complexity, the work and experience behind the most simple lines she draws. I love her sens of color and the way she elegantly fills the surface she works on. I have been advertising her work to everyone who showed a little interest to the doodle activity!!! Her graphic universe gives such a good insight of what the doodle world could contain.
(FR)
L’Atelier consiste à apprendre à réaliser un cahier de “croquis”, de recherches d’idées et de lignes, à créer avec les enfants une base pratique et esthétique pour des réalisations futures (livres, “flyers”, posters, cartes…) ou le plus souvent, pour le “doodle” lui même, tel qu’il est, suffisant à l’inspiration qu’il renferme!
Le Manifeste du Doodle de Lisa Congdon m’a guidé dans ma préparation de l’atelier. J’en ai fait une traduction globale et très simplifiée pour le rendre accessible aux enfants et en faire une présentation orale, rapide en début d’atelier.
La complexité et l’experience se pressentent derrière les lignes les plus épurées du travail de Lisa Congdon. Son sens le la couleur et sa manière de couvrir les surfaces sur lesquelles elle travaille sont si plaisants à observer. Je vante son travail auprès de chaque personne qui s’intéresse quelque peu aux “Doodles” car il donne un très bel exemple de ce que l’univers du doodle promet.
Voici la présentation de l’activité doodle inspiré dudit manifeste
(malgré l’emploie de l’impératif, il s’agit de lignes directrices, rien d’exhaustif ou de contraignant bien sûr!)
EN DOODLE IL N’Y A PAS DE LOIS – SE SENTIR LIBRE DE DESSINER COMME ON LE RESSENT – LAISSER GLISSSER SON CRAYON- ESSAYER DES FORMES NOUVELLES…
AYEZ UN STYLO ET DU PAPIER N’IMPORTE OÙ VOUS ALLEZ. ON NE SAIT JAMAIS QUAND L’INSPIRATION OU L’OCCASION VA SURVENIR…
PRENEZ LE TEMPS DE FAIRE DES DOODLE LE PLUS SOUVENT POSSIBLE, C’EST UNE MANIERE DE LIBERER SON POTENTIEL CREATIF…
PENSEZTOUT SOUS FORMES DE LIGNES ET DE CERCLES. VOUS N’AVEZ PAS BESOINS DE SAVOIR DESSINER…PENSE VOS IMAGES MENTALES SOUS FORME DE LIGNES…
VOUS ETES LE PATRON DE VOTRE ART. UN “DOODLE BOOK” EST UN ESPACE PRIVE
LES LOIS DE L’IMPERFECTION: L’IDEE EST QUE CE SONT LES IMPREFECTIONS QUI FONT LA BEAUTÉ. EN “DOODLE” LES CHOSES BANCALE SONT COOL
LES “DOODLES” C’EST DE L’ART POINT FINAL! BEAUCOUP DE COMPOSITIONS ABSTRAITES, DE MOTIFS REPETITIF (PATTERNS)COMMENCENT DANS UN DOODLE BOOK.TOUT CE QUI EST DANS UN CARNET DOODLE NE SE TRANSFORME PAS EN REALISATION ARTISTIQUE ACHEVÉE MAIS EN EST UNE INSPIRATION POTENTIELLE.
LE NOIR ET BLANC SONT DE BELLES COULEURS. LES POINTES FINES NOIRES SONT SOUVENT LE MATERIEL FAVORIS DES “DOODLERS” – ENCOURAGEMENT À LA SIMPLICITÉ UTILISER UNE SEULE COULEUR ( MEME SI CE N EST PAS NOIR).
QUAND VOUS DESSINEZ EN NOIR ET BLANC VOUS TROUVEREZ UNE GRANDE BEAUTE DANS LA MONOTONIE
LES ESPACES NEGATIFS SONT IMPORTANTS.PRETTEZ ATTENTION A VOTRE COMPOSITION, A L ESPACE QUI ENTOURE VOS LIGNES: UNE COMPOSITION EST FAITE D ESPACES NEGATIFS ET POSITIS QUI INTERRAGISSENT
FAIRE DES CHOSES “PAS BELLES” FAIT PARTIE DE L EXPERIENCE. … NE PAS JETER LES ERREURS . PARFOIS UNE DOODLE APPARAIT “MOCHE” JUSQU’À CE QU’ON Y AJOUTE DE LA COULEUR PAR EXEMPLE… ET IL SE TRANSFORME EN DOODLE SYMPA, QUI A TOUTE SA PLACE DANS VOTRE CARNET DOODLE OU CARNET DE RECHERCHE!!!
TINKERLAB for mini maker: “Get Started: The TinkerSketch Challenge”
Tinkersketch on instagram: “Rachelle Doorley – The Experimental Sketchbook Challenge. Put a dash of creative in your life with five minutes a day. hashtag:#tinkersketch
The theme of the year at “L’Ecole Des Buis” school is JAPAN.
I have to say, it is a great source of inspiration for me! I conduct collage and drawing workshops. After the workshop end, I can not stop exploring that universe further on, in my notebook. My favorites ones are the KOÏ and DRAGONS as well as the wonderful minimalistic design of the everyday objects . There is plenty of them in my ceramic mic mic board on Pinterest.
Ce fut une merveilleuse source d’inspiration pour moi! J’ai régulièrement animé des ateliers de collage et de dessin. Après chaque atelier, je ne pouvais m’empêcher de continuer de jouer avec les formes des carpes KOï et des dragons serpents ainsi que le design minimaliste des objets usuels dont la culture japonaise est riche – Allez faire un tour sur Pinterestdans mon tableau “japanese tonality”, vous y trouverez des trésors d’inspiration…
How fascinating are the Dragons! In particular this Japanese ones. They might be dangerous but they are not exactly hostiles creatures like our european fire breathing dragons. After I conducted a collage workshop about dragons I felt like exploring further those reptilian lines, just the fun of the doodle. I creates a few prints based on it.
(FR)
Les dragons japonais sont de fascinantes créatures. Bien qu’associés aux forces de la Nature, elles sont dangereuses certes, mais pas vraiment hostiles. Elles ne montrent pas le caractère violent des dragons occidentaux Bref, ces dragons là se laissent dessiner complaisamment. Après avoir animé un atelier collage sur les dragons, j ai eu envie d’explore les lignes de ces reptiles plus en avant, pour mon plaisir personnel de griffonnage. J’en ai fait des cartes et des posters.
Il est le caractère principal de l ‘histoire de Yael Altuvia. Une très belle histoire qu’elle racontait à ses neveux quand ils étaient petits. J’ai commencé ce projet d’illustration il y a de cela quelques années. Pour des raisons de changement de pays, d’une “petite”parenthèse médicale (vie est belle maintenant!), le projet est resté en suspend sur sa fin, à trois pages de sa fin exactement. Je souhaite intensément le terminer. Sans doute aurais-je envie de changer des choses car le temps a passé, l’illustratrice a changée aussi… Pourvu que Yael ne fasse pas comme moi, qu’elle souhaite, elle aussi, changer l’histoire! Dans ce cas, nous serions partis pour quelques années supplémentaires d’élaboration. Luno pourrait alors éventuellement être un vieux Berger ou reconverti dans la “high Tech”.
C’est un projet particulier, Yael est une amie, elle n’a jamais inscrit le livre dans le temps réel, seul lui importe, au bout du compte, que l ‘histoire trouve sa place dans les images et vice-versa.
Luno vient un peu du moyen orient car il y est né, dans la tête de son auteur tout au moins. La majeur partie des illustrations ont été réalisées autour de Pardes-hana/Karkour( nord de Tel Avis). Pour autant en terme d’illustrations, si le cadre traduit ça et là les influences de sa naissance, j’ai voulu en accord avec Yael, que Luno soit de partout et de nulle part. Cela se traduit par des éléments de décor, des paysages plus ou moins réalistes empruntants tant à l’Europe, l’orient extrême ou moyen….espérons que chacun s’y sente chez soit.
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He is the main character of Yael Altuvia’s story. A beautiful story she used to read to her nephews when they were little. For various reasons (moving countries and medical interludes… eveything is fine by now) the project was delayed. It remained blocked at three page from the end.
I am very much willing to achieve it by now. I might change some elements of the illustrations because time passed by and the illustrator also went through a few substantial transformations. Let’s hope Yael won’t do the same as me with the text, if so, we might be forced to delay the book for a few more years. Luno might be, by then, a grown up guy who quit being a shepherd for a high tech career or something similar
It is a special project. Yael is a friend. She was never interested in dead lines (I am sure she’d like it to be achieved by now but not at any conditions). It is paramount for her that the story would fit into the images and vice-versa.
To some extend, Luno comes from a middle east background because he was born there, in his author’s mind at least. Also, the main part of the illustrations were made in Pardes-Hana/Karkour (north from Tel Aviv) which inevitably did influence the drawings. However, although there are elements coming from Yael and I immediate surrounding, when we got started with this project, it was important for us that Luno would be coming from about nowhere … or everywhere. The book landscape is made of mixt elements from both easten and westen world. Hopefully everybody would feel at home within the pages.
The Japanese dragon collages we created, with the children, during the workshop at the “école des buis”school made me feel like creating my own digital version of it.
(FR)
Les dragons japonais créés avec les enfants de l’atelier de l’Ecole des Buis m’ont donné envie de faire une version digitale de l’animal.
(ENGL) A present for our daughter fifth birthday – the story is not so relevant here, mainly inside family stories relative to a enthusiastic little girl interest…
“IECH” means yeah, Wow !!!!
(FR) Un cadeau pour les 5 ans de notre fille – L’histoire n’a pas grand intérêt ici en dehors de la principale concernée.
(ENG) I took part in a little illustration contest (Badulina 2) in which I had no chance since my graphic universe was very far from the expected style, a kind of “hippie”, cool style. Anyway, it was nice to participate. The image then transformed into the “Time to move” poster. The extract I was given was about a guy waiting for so long for a women to turn up, in central park (I should find the actual text…)
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(FR) J’ai participé à un petit concours (de circonstances) pour illustrer une fameuse fiction “Badulina” tome 2. Je n’avais aucune chance de l’emporter car le style du tome 1 du livre était très loin de mon univers graphique. Quoi qu’il en soit, c’était une belle expérience. L‘image en question a donné plus tard le poster “time to move”. Le texte qui nous avait été confié parlait d’un personnage qui attendait longtemps qu’une femme arrive (Il faudrait que je retrouve le texte exact…)
(ANGL) A poster I made for my daughter as she was repeatedly watching “le soldat rose” musical DVD
(FR) un petit poster que j’avais fait pour ma fille lorsque elle regardait en boucle le DVD du Soldat rose, conte musical composé par Louis Chedid
Le Soldat rose est un conte musical composé par Louis Chedid, écrit par Pierre-Dominique Burgaud, créé en 2006 et illustré par Cyril Houplain, créateur de l’univers visuel de -M-.
(ENGL) This was a research on paper when exploring the identify of a pediatric children ward. At the end of it we went to a completely different direction, something closer from a logo shape ( lien)
(FR) Ceci est une recherche papier sur l’identité graphique du service de cancérologie pédiatrique de l’hôpital Hadassa de Jérusalem. Finalement nous sommes partis vers une toute autre direction, plus proche d un logo ( Lien)
(FR) cette couverture du catalogue du musée de Tel aviv est une de mes premieres images, réalisée juste après avoir décidé de faire des illustrations. J’avais peint, découpé et fait mes premières armes avec Photoshop. J’ai surtout découvert l’art de la conversation utile avec le client (et je suis tombée alors dans tous les pièges 🙂 )
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(EN) This was one of my first job when I decided to make illustrations, I started with painted and cut subjects – scanned them and play with them. I was new to photoshop but It was a great joy of achieving this cover. I also discovered, at that time, the art of negotiating with clients (I fell into all the usual traps 🙂 )
(ENGL) This print was my contribution to the exhibition about Greek mythology, organised by theIsrael association of illustrators (אגודת המאיירים) (“the Trojan horse affair / Ulysses (Odysseus) is still laughing about it”)