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© all images are copyright of Isabelle Stolar
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Prints available 10/15 – 21/29 –23/30 – 30/40 cm print -200% gram Nautilus recycled paper –professional digital print
Prints available 10/15 cm – 24/30 – 30/40 cm print 23/30 cm – 200 gram Nautilus recycled paper – professional digital print
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Juste des maisons,
Y ajouter des créatures pour suggérer une histoire …
pour l’heure, c’est le désert:
C’était un peu l ‘effet recherché.
mais on peu improviser
dessiner ou coller
des amis
#sketchbookexploration
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DES BATEAUX ET DES PIRATES !
J’aime beaucoup ces vacances urbaines, éclaires, concentrées en musées, en déambulations expresses.
Du Marseille du pourtour du port, on revient avec du bleu dans la tête, des photos d’amphores remontées à la surface par des pourvoyeurs d’histoires, des bateaux contemporains et toutes sortes de vaisseaux mi-réels mi-imaginaires qui s’entrechoquent, images mentales hybrides et cahotiques, car on ne lit pas tout les petits encarts, trop techniques, pour les déambulateurs distraits que nous sommes!
Ils étaient comment ces phocéens? Des Grecques, c’est sûr! des colons pilleurs, sortes de pirates et marchands?
Bribes de réponses glanées au musée d ‘histoire de Marseille:
Des marins grecs originaires de la ville de Phocée qui fuyaient les invasions perses de cette époque. En arrivant, ils furent frappés par la ressemblance de la calanque de Lacydon (qui correspond aujourd’hui au célèbre Vieux-Port) avec leur ville d’origine et c’est pour cette raison qu’ils ont décidé de s’y installer.
“A partir de 600 av. J.-C., les Phocéens vont fonder, en plus de Massilia (Marseille), une multitude de comptoirs sur l’actuelle Côte d’Azur : Olbia (Hyères), Antipolis (Antibes), Nikaïa (Nice), ainsi que des bases en Corse (Aléria) et en Espagne. De nombreux Phocéens viendront se réfugier dans ces colonies, après la conquête de leur ville par les Perses vers 540 av. J.-C.”
Journal de visite – musée d’histoire de marseille
page du carnet déambulatoire- istolar
page du carnet déambulatoire- istolar
page du carnet déambulatoire- istolar
page du carnet déambulatoire- istolar
MARSEILLE
83000 spécimens d’animaux,
200000 spécimens végétaux,
81000 spécimens de paléontologie
8000 échantillons de minéraux.
Une partie de ses collections est présentée au public…
Sometimes I write in english (sorry for the grammatical and syntactic errors). It is a remnant from the time I lived abroad and got used to communicate with non-francophones people. Sometimes I write in french, it depends on my mood, with no logical approach….
Houses in my sketchbook are still my best connection with childhood, mine and others … drawing houses, drawing cosiness, the one we experiment as well as the one we dream about!
*
I can’t help wondering what do the refugees children recently arrived in France draw? I saw this drawing on the net, a house and “HELP” written next to it.
Browsing through a few of their drawings, it seems that quite often, there is no house at all but water, plenty of water with people struggling in the middle surrounded by empty boats.
As a former social worker, I remember when children don’t feel like drawing their dreams anymore because the abusive reality is too invasive, too brutal, they draw their reality. We, Adult, generally get shocked by it. They only draw what they see. Their reality is shocking.
*
I also remember how drawings and colors change, once children feel safe again – How livid faces change, cheeks turn pink again. All the traumas remain to be taken care of, but the feeling of being secure makes room for further healing and other themes for their drawings.
Prints available 10/15 cm ( postcard) – 200 gram Nautilus recycled paper – professional digital print
cartes à colorier
Lus la Croix-Haute
«Horizons entièrement fermés, de roches acérées, aiguilles de Lus, canines, molaires, incisives, dents de chiens, de lions, de tigres et de poissons carnassiers. » Un roi sans divertissement – Jean Giono.
Finjan des Alpes 😉
MOMENT WIKI
“Paon” vient de PANOPTES (surnom d’Argos/mythologie Grecque). La femelle du paon est appelée « paonne » (prononcer « panne ») et son petit « paonneau » (prononcer « panneau »)
Quand il étale les plumes de sa queue sous la forme d’un éventail, Cette roue comprend des structures en forme d’œil, qui sont donc appelées OCELLES.
Dans la mythologie grecque, Argos est un Géant. (Il ne faut pas le confondre avec son homonyme Argos l’argonaute, lui aussi issu d’un père nommé Arestor). Argos avait reçu l’épithète de « Panoptès » (Πανόπτης / Panóptês, « celui qui voit tout ») car il avait cent yeux, répartis sur toute la tête, ou même sur tout le corps selon certains auteurs. Il y en a en permanence cinquante qui dorment et cinquante qui veillent, de sorte qu’il soit impossible de tromper sa vigilance. Héra lui confia la garde d’Io (une des nombreuses maîtresses de Zeus), qu’elle venait de changer en vache mais Hermès endormit le gardien au son de sa flûte, et lui coupa la tête. Héra transporta les yeux d’Argus sur la queue du paon, ou le métamorphosa en cet oiseau.
Doodle peacock
– Dans le langage populaire,« Avoir les yeux d’Argus » est une expression qui signifie « être lucide et vigilant ».
– Le journal “L’argus” est nommé d’après ce héros mythologique.
– L’Argus II est un implant oculaire permettant de traiter certaine forme de cécité.