









On a Ă©changĂ© des maisons et on a vu des brebis basco-bĂ©arnaises! Elles ont un profil busquĂ©. et une toison semi-ouverte Ă mèches longues. Leurs cornes tournent en spirale autour de l’oreille inclinĂ©e.
























En Occitanie,
curiosité anthropologiques oblige,
faire un tour Ă Lourdes!
Troisième lieu de pèlerinage catholique en fréquentation après le Vatican et la basilique Notre-Dame de Guadalupe de Mexico!
Ambiance garantie?
espace de méditation?
– Pas tout Ă fait.
Un jour sans évènement,
– ceci explique peut ĂŞtre cela –
Lourdes m’est apparu comme un endroit d’un ennui et d’une morositĂ© sans nom.
ou Madones et autres Grigris associĂ©s s’entassent sans gène
à des prix que la loi du marché justifie:
6 Millions de pélerins et/ou visiteurs
Lourdes aurait tord de s’en priver.
Impression – par definition subjective – que tout le monde joue le jeu d’y croire pour que le théâtre rĂ©siste.
Un jour de pélerinage, on imagine une transe collective ou des miracles isolés à se raconter plus tard dans les communautés.
Cependant, il faut vraiment que l’endroit soit frĂ©quentĂ© par des gens qui amènnent avec eux du pouvoir religieux, des images mentales nĂ©cĂ©ssaire Ă transcender le triste spectacle du supermarchĂ© des Madonnes.
Après tout, c’est un lieu de Pèlerinage, pas un Festivals.
…














J’avais, il y a de cela quelques temps dĂ©jĂ , participĂ© Ă un stage de gravure /pointe fine avec Chlotilde Stae – ici .
La pointe fine fut une petite rĂ©vĂ©lation pour moi… J espère toujours prendre le temps de creuser le sujet au sein de #istolar.
Cet Ă©tĂ©, j’ai renouvelĂ© l’experience de papillonnage artistique. Je me suis offert une initiation Ă la Linogravure avec Evelyne Mary dont j’ai dĂ©couvert, en passant, le magnifique travail (pinterest). Ses albums pour enfants sont tellement beaux (ses albums sur son site)! Allez vous infuser les yeux, c’est un conseil/coup de coeur.
Sur deux jours de stage je me suis un peu perdue en dĂ©tail, un peu acharnĂ©e sur mes plaques de linoleum ( je voulais voir ce que donneraient mes dessins sur cet autre support). Sans doute aurais-je du tester, sentir, experimenter, superposer de plus petites choses plus simples pour profiter pleinement de l’expertise d E.Mary.
C’ Ă©tait, quoi qu il en soit, une très belle expĂ©rience et rencontre.
J’aimerai explorer la gravure, Ă mon format. J’ai pu me rendre compte Ă cette l’occasion de ce qui m’ irait le mieux. Pour moi ce sera plutĂ´t la pointe sèche…






























I am a river fish
not that tasty, believe me!
Just nice to watch
wandering around.
Thank U


and all sort of kind eyes














Print and cut






















#filmspourenfants
J’ai vu les malheurs de Sophie avec ma fille, moment sucrĂ© parfois doux-amer, univers dans lequel on se glisse sans y prendre garde, sans se rendre forcĂ©ment compte sur l’instant des singularitĂ©s des couleurs, du ton, des rythmes auxquels on revient par la suite, en rĂŞveries, puisque cette enfance lĂ nous a touchĂ©, beaucoup plus qu’on ne l’aurait cru. En tout cas ce fut mont cas- le rĂ©veil d’une nostalgie de moments qu’on n’a pas vraiment vĂ©cu , des bouts d’enfance universelle entre attachements,  abandons,  jeux, souplesse et obstination.
… et aussi et presque surtout, la musique d’Alex Beaupin pour “Tout tombe”que la Grande Sophie chante en duo avec la petite (Caroline Grant.)!
… “the cherry on the cake” Golshifteh Farahani dans le role de  Mme de RĂ©an.
♥
La prochaine fois dans cette rubrique coup de coeur:  je poste sur ma vie de courgette 🙂


â™










On a cherché des posters sur internet.
Pour les murs d’une chambre devenue solo
A personnaliser.
On n’est jamais si bien servi que par NOUS mĂŞme.










Tout commence par un doodle, une femme qui parle avec la nature. Elle se pose des questions sur la beauté, la sienne et celle du monde.
Quand on coupe et qu’on duplique des morceaux du dessin, il nous Ă©chappe et rĂ©vèle parfois un sens a posteriori: une extension de l’humeur du dĂ©part, ou tout simplement un ajout, du nouveau.
La fleur est “tĂŞte” et “motif rĂ©pĂ©titif”
Digression graphique, toujours!
















DES BATEAUX ET DES PIRATES !
J’aime beaucoup ces vacances urbaines, Ă©claires, concentrĂ©es en musĂ©es, en dĂ©ambulations expresses.
Du Marseille du pourtour du port, on revient avec du bleu dans la tĂŞte, des photos d’amphores remontĂ©es Ă la surface par des pourvoyeurs d’histoires, des bateaux contemporains et toutes sortes de vaisseaux mi-rĂ©els mi-imaginaires qui s’entrechoquent, images mentales hybrides et cahotiques, car on ne lit pas tout les petits encarts, trop techniques, pour les dĂ©ambulateurs distraits que nous sommes!
Ils Ă©taient comment ces phocĂ©ens? Des Grecques, c’est sĂ»r! des colons pilleurs, sortes de pirates et marchands?
Bribes de rĂ©ponses glanĂ©es au musĂ©e d ‘histoire de Marseille:
Des marins grecs originaires de la ville de Phocée qui fuyaient les invasions perses de cette époque. En arrivant, ils furent frappés par la ressemblance de la calanque de Lacydon (qui correspond aujourd’hui au célèbre Vieux-Port) avec leur ville d’origine et c’est pour cette raison qu’ils ont décidé de s’y installer.
“A partir de 600 av. J.-C., les PhocĂ©ens vont fonder, en plus de Massilia (Marseille), une multitude de comptoirs sur l’actuelle CĂ´te d’Azur : Olbia (Hyères), Antipolis (Antibes), NikaĂŻa (Nice), ainsi que des bases en Corse (AlĂ©ria) et en Espagne. De nombreux PhocĂ©ens viendront se rĂ©fugier dans ces colonies, après la conquĂŞte de leur ville par les Perses vers 540 av. J.-C.”


Journal de visite – musĂ©e d’histoire de marseille


page du carnet déambulatoire- istolar


page du carnet déambulatoire- istolar






page du carnet déambulatoire- istolar


page du carnet déambulatoire- istolar


Il y a souvent des maisons dans ma tĂŞte (ailleurs dans le Blog – post en anglais pour le moment…)
*
J’avais fais des maisons en Fimo pour accompagner les crĂ©ations “polymĂ©ro-culinaire” de la spĂ©cialiste junior de la maison.
Je les ai percĂ©es et accrochĂ©es Ă un fil pour en faire des bijoux de maison, une sorte de “Hamsa” ou”main de fatma” (sans main).
Je les destinais Ă un usage strictement domestique. Quand Ă ma surprise, des amis de passage Ă l’atelier ont voulu en acheter pour un cadeau de pendaison de crĂ©maillère.
Me voici donc en train d’explorer l’objet “maison en pâte polymère”.
… la maison, un de mes thèmes de prĂ©dilection que je le veuille ou non.
Celles-ci restent un peu irrĂ©gulières, un peu naĂŻves, presque infantiles. c’est volontaire.
*






















BLOG/ATELIER: nos autres expériences FIMO


MusĂ©e des civilisations de l’Europe et de la MĂ©diterranĂ©e
































Magnifique portrait d’une anonyme pour contrebalancer un autre portrait, celui de Z Zidane, un peu plus loin….
Elle s’appelait Annick Perrot-Bishop, une Ă©crivaine rĂ©sidant au Canada, nĂ©e au ViĂŞt Nam (collage revu par JR) – Sur la photo originale, Annick Perrot-Bishop est photographiĂ©e par son amie Jacqueline Ros en dĂ©cembre 1966 Ă l’âge de 21 ans, lors d’une promenade sur le Vieux Port. JR a choisi de ne garder que son visage comme un symbole de jeunesse et de vitalitĂ©.


Esplanade de la Tourette – Marseille – saltimbanque vĂŞtu d’un pagne qui joue du tambourin, le pied posĂ© sur un ballon. Il enseigne Ă deux oursons un numĂ©ro d’Ă©quilibriste(Louis Botinelly).




MARSEILLE
83000 spécimens d’animaux,
200000 spécimens végétaux,
81000 spécimens de paléontologie
8000 échantillons de minéraux.
Une partie de ses collections est présentée au public…






































Sometimes I write in english (sorry for the grammatical and syntactic errors).  It is a remnant  from the time I lived abroad and got used to communicate with non-francophones people. Sometimes I write in french, it depends on my mood, with no logical approach….
Houses in my sketchbook are still my best connection with childhood, mine and others … drawing houses, drawing cosiness, the one we experiment as well as the one we dream about!
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I can’t help wondering what do the refugees children recently arrived in France draw? I saw this drawing on the net, a house and “HELP” written next to it.
Browsing through a few of their drawings, it seems that quite often, Â there is no house at all but water, plenty of water with people struggling in the middle surrounded by empty boats.
As a former social worker, I remember when children don’t feel like drawing their dreams anymore because the abusive reality is too invasive, too brutal, they draw their reality. We, Adult, generally get shocked by it. They only draw what they see. Their reality is shocking.
*
I also remember how drawings and colors change, once children feel safe again – How livid faces change, cheeks turn pink again. All the traumas remain to be taken care of, but the feeling of being secure makes room for further healing and other themes for their drawings.









