The Bacchante, 1853 is a painting by Jean-Léon Gérôme ( French painter and sculptor in the style now known as academicism. The range of his oeuvre included historical painting, Greek mythology, Orientalism, portraits, and other subjects, bringing the academic painting tradition to an artistic climax.)
A Bacchante in Roman mythology is a female follower of Bacchus, god of wine and intoxication. In Greek mythology, they are called Maenads. … Bacchantes are depicted as mad or wild women, running through the forest, tearing animals to pieces, and engaging in other acts of frenzied intoxication.
This painting or the bacchantes were not really my inspiration for the underneath portrait … some mental imagery are overlapping…
I thought there would be more paintings representing woman with rams’s horns other that this one from Jean Leon Gerome ( biography in French here)
FR / J’ai essayé (sur mes cartes postales #Luno) un générateur de couleurs au hasard mais il y en a beaucoup à explorer sur le web, ici et là, un peu partout, à explorer… Je pensai que le bleu dominait plus le projet.
ENGL / I tried color palette on my Luno postcards. It is based on the predominant colors in image – 4 art projects, web design or home decor. I only try one generator, there is plenty on the net to explore
I though blue was dominant. It is … but there is plenty of green too !
La duchesse Zinaida Yusupova était une noble russe née le 23 septembre 1861 et décédée le 24 novembre 1939. Elle était membre de la famille aristocratique Yusupov, l’une des familles les plus riches et influentes de la Russie impériale. Zinaida était la fille du prince Boris Yusupov et de la princesse Tatiana Alexandrovna.
La famille Yusupov était connue pour ses vastes richesses et sa participation à la vie sociale et culturelle de la Russie. Zinaida Yusupova s’est mariée avec le prince Felix Yusupov en 1889. Felix Yusupov est devenu célèbre pour sa participation à l’assassinat de Raspoutine, conseiller mystique de la famille impériale russe, en 1916.
La vie de Zinaida Yusupova a été marquée par la Révolution russe de 1917, qui a entraîné la chute de la monarchie et la disparition de la noblesse russe. Après la révolution, elle a vécu en exil en France avec son mari. La duchesse Zinaida Yusupova a survécu à de nombreux changements politiques en Russie et a vécu une vie tumultueuse jusqu’à sa mort en 1939.
George Sand est le pseudonyme d’Amantine Aurore Lucile Dupin de Francueil, baronne Dudevant, romancière, auteur dramatique, critique littéraire française et journaliste.
J’ai trouvé cette photos sur pinterest avec pour seul ‘credit’: “two pals, 1920”. C Tout!
L’idée de travailler a partir de photos est de reprendre les lignes de l’image, l’énergie de la composition et progressivement au fil du dessin, se l’approprier sans trop y penser.
ici C’était un peu comme ‘croquer’ la connivence entre ces deux ‘guys’
image finale faite avec procreate en utilisant le pinceau : sketching – HB pencil
Au dessus des têtes, une mine d inspiration pour des motifs botaniques :
Au plafond de la salle principale, des panneaux peints illustrant les plantes importantes pour l’Angleterre au 19ème siècle que ce soit pour leur rôle économique (café, coton, tabac), ou horticole (le chêne trouvé dans les campagnes anglaises ou encore les citronniers ou les arbres fruitiers trouvés eux dans les colonies anglaises).
Hintze Hall (museum built between 1873 and 1880) is the largest public gallery in the Museum. A blue whale skeleton is suspended from the ceiling as a reminder of humanity’s responsibility to protect our planet. It is surrounded by specimens that represent the history of our solar system and life on Earth.
Exposition co-produite par le Musée des Arts Décoratifs, Paris et le Dallas Museum of Art, avec la collaboration exceptionnelle du musée du Louvre et le soutien de la Maison Cartier.
… “montre les influences des arts de l’Islam sur la production de bijoux et d’objets précieux de la Maison de haute joaillerie, du début du XXe siècle à nos jours. Plus de 500 pièces – bijoux et objets de la Maison Cartier, chefs-d’œuvre de l’Art islamique, dessins, livres, photographies et documents d’archives – retracent ainsi l’origine de cet intérêt pour les motifs orientaux. “
Au rez de chaussée, on a vu des pieces dessinées en toute précision pour cette exposition, les ‘sur’ et les structuraux ‘sous’ vêtements de bal, depuis le 18 eme siècle, la guerres mondiale, la grande dépression, jusque dans les années 80. ou comment le bal, depuis ses origines européennes jusque dans les soirees d Hollywood constitue un billet d entré dans un certain monde
A l étage “The Modern Ball: Israeli Couture“, donne un aperçu de l industrie israélienne de la haute couture et de sa reflexion sur une société aux singularités cuturelles plus ou moins ouvertes sur l’extérieur, toutes concernées par l’habit de bal et participant d une réflexion philosophico-artistique rendue visible par cette exposition. Point de vue captivant. En cette période de covid, le fond et la forme furent bienvenues …
La partie sur les souliers de vair/vert m’a moins saisie: des chaussures transparentes imprimées en 3D. Mon intérêt décrocheur fut plus une histoire de timing qu’autre chose, me semble-t-il.
En ce qui concerne “les gateaux /chapeaux” –“The Whipping Room and the Mad Hatter,” -je n’ai pas du comprendre le propos… des dessert, comme un rite de passage des grands évènements… On ne pouvait pas ne pas penser à “Alice “, c’est certain. Il s”agissait de vrais desserts sculptés à la main! sur des chapeau et/ou en forme de chapeaux… avec 1000 heures de vie … si si si ! je suis passée à côté, là aussi. les sculptures de macarons: pas mon truc.
(Quelques articles (svt en anglais) sur l’exposition en fin de post)
(FR)
Le Musée du Design de Holon est le premier musée consacré au design en Israël. Le bâtiment du musée a été conçu et dessiné par l’architecte et designer industriel israélien Ron Arad en collaboration avec l’architecte Bruno Asa.
“When I started to work on it, people asked why it’s so important in our lives. And then escapism became the central thing in our lives all over the world.”
“The first part of the exhibition is dedicated to the history of proms. They developed in the middle ages in Europe, and were closed to the aristocracy and the rich. Through fairy tales, proms became available for everyone to imagine, to dream and to become a part of the escapism,” says Keydar.”
… “To give the Israeli take on the ball, Keydar invited dozens of Israeli designers to participate in the exhibition, among them Sharon Tal of Maskit, Shahar Avnet, Vivi Bellaish and Alon Livne.”
…” a multi-sensory theatrical exhibition of dress and evening wear designs”
“we wanted to go beyond the traditional fashion exhibition presentation and form a new language that allows the visitors to feel as if they are both spectators and participants,” said Maya Dvash,
“120 gowns and 50 accessory pieces are presented with sound, music, scenery, and lighting, creating an immersive space that encourages a dialogue with visitors revolving around Israeli fashion, culture, and society. “
“The Ball” goes beyond the opulent surface of fashion design, and delves into its connection with the community of designers and users. “
Style curates (article /more pictures from the exhibition)
“In a groundbreaking exhibition that draws parallels between fairytales and high fashion, The Museum at FIT presents red hoods, ballgowns, ruby slippers and other fashion finds buried in tall tales written by the Brothers Grimm, Hans Christian Andersen and others.”
Middle east.in list ans analyse the artist participation to the exhibition:
For instance one of (from my point of view) the most impressive creation was “My Jewish Wedding” by Tal Medina”.
She “Uses wallpaper, silk and wool, feathers and synthetic furs. The models participated in a final project in the fashion design department, Shenkar. The project deals with closed communities from the ultra-Orthodox current and examines the tension between culture, faith and conformity, and between independent thought, freedom and individuality. The collection combines wallpaper, silk and wool fabrics identified with the ultra-Orthodox clothing, and feathers and synthetic furs, which are reminiscent of the animal world.”
Les maisons de Tokyo réalisées en aquarelles de Mateusz Urbanowicz? sont magnifiques.
En les regardant j’ai pensé en digressant à toutes les maisons étroites que je connaissais: les si jolies maisons victoriennes mitoyennes de Londres avec leur carré de pelouse en arrière cours, puis les maisons de villages collées aux routes d’Ardèche ou quasi posées sur la nationale 7. J’ai voulu dessiner l’une de ces derrières (sans la route). Pour cela j’ai choisi comme référence une maison rose à Charleston- South Carolina dans un quartier historique aperçue sur un site etsy – Logique n’est-ce pas?
Au départ je l’ai tracée pour poser les aplats de couleurs et par la suite j’ai oublié le modèle pour me concentrer sur le traitement des textures avec une seule “brush” procreate, dans le pack “artistic”: AURORA.
l’appli est facile d’approche. Il suffit d’ouvrir un tuto pour apprendre, comprendre et l’expérimenter. Jamais je ne me suis sentie, sur écran, connectée à mon expérience première du dessin d’enfance. On est au plus proche du dessin sur papier avec tous les avantages et les opportunités des applications numériques.
Il s’agit toujours d’un écran/ipad , ne plus faire passer des heures et des jours face à l’ordinateur est une bonne nouvelle pour moi. Voilà l’opportunité de dessiner sur écran assise en tailleur sur le sol, coincée entre deux coussins ou à l’ ombre d’ un arbre.
Si je devais retenir une seule qualité, une action fétiche de cet outil, ce serait celle de peindre. Les ‘brushes’ du ‘pack’ procreate sont déjà variées et magnifiques (émerveillement quand tu nous tiens!). Il est, de plus, facile de s’en fabriquer ou d’en télécharger d’autres, elles imitent à la perfection les pinceaux et les peintures que l’on connaît.
Ayant, ces dernières années, été occupée (illustrations du livre “Luno, à paraître) avec photoshop, où mes dessins scannés ont eu tendance à disparaître sous les juxtapositions de textures. C’était un choix et une méthode qui me convenaient jusqu’à présent, mais je m’étais, ce faisant, éloignée du geste du crayonné et/ou celui de la peinture. Tout est revenu soudainement, avec cette application: voilà mon émerveillement. je n’avais pas mesuré combien cela m’ avait manqué.
Voici le portrait du marin qui existe en plusieurs versions ( V1 – V2) dont un GIF (autre petite pépite de procreate: l’ ”animation assist” ou possibilité de créer un mouvement avec quelques séquences.
J’ai choisi de faire entrer le petit poisson vert dans l’oreille du monsieur. La tête devient un tunnel… ou le poisson devient une pensée qui passe par la tête 🙂
J’essaie de peindre avec le moins de “layers”possible, pour garder cette effet ” tradition” ;-). Même si , je le reconnais, c est quand meme très pratique, une barbe amovible!
English
Procreate is full of promesses
All you have to do is to open a tutorial to learn, understand and experiment your own way to draw with this great tool. I haven’t felt so connected to my experience of drawing from childhood for a long time. It feels as close as possible to drawing on paper with all the advantages and opportunities of digital applications.
It’s a screen but still, not having to face the computer screen for hours and days is a good news for me. It is the opportunity of drawing pleasantly, in a cross-legged position on the floor, wedged between two cushions or in the shade of a tree.
If I had to retain one quality only about this tool, it would be that of painting. The brushes in the procreate pack are already varied and beautiful and it’s easy to make or download others, they perfectly render the brushes and paints effect we know. A pure graphic happiness!
In recent years, I have been busy (illustrations for the forthcoming book “Luno, ) with photoshop. My scanned drawings tended to disappear under the juxtapositions of textures. It was a choice and a method that suited me until now, but in doing so I moved away from the gesture of sketching and / or painting. All that came back suddenly, with this application, I did not realise I missed it so much until now.
Here is the portrait of the sailor which exists in several versions (V1 – V2) including a GIF. I chose to direct the little green fish toward his ears. The head becomes a tunnel or the fish becomes a thought that crossed his mind 🙂
I tried to paint with as few layers as possible, to keep that “traditional” effect. but I have to admit that a removable beard it practical!
Pour ce portrait, l’image d’inspiration (aucune recherche de reproduction) est une photo en noir et banc du pêcheur anglais Walter “Catty Allen photographié par Olive Edisen (1910). Cette photo a été colorisée par le photographe Mario hunger. La collection de son travail de colorisation est ici.
Mon objectif (pas tout a fait atteint ) était de m’approcher du grain et la simplicité des traits d’un illustrateur dont j aime énormément le travail – Tristan Gion.
Français: J’avais dessiné (avec procreate) des fleurs que je voulais fragiles et texturée pour compléter ma reserve de” fleurs pour futur motifs sans coutures” bref des patterns. Le rendu était si kitch que j’ai eu envie de les poser sur de la porcelaine pour qu’elles se sentent dans leur élément.
English: I wanted to draw (avec procreate) some fragile and textured flowers to complete my stock of “flowers for future seamless patterns” . The rendering was so kitsch that I wanted to put them on porcelain surface for them to feel at ease.