Madone & co

 

J’ai participé à un stage de Linogravure, c était bien.

J’avais, il y a de cela quelques temps déjà, participé à un stage de gravure /pointe fine avec  Chlotilde Stae  –   ici .

La pointe fine fut une petite révélation pour moi… J espère toujours prendre le temps de creuser le sujet au sein de #istolar.

Cet été, j’ai renouvelé l’experience de papillonnage artistique.  Je me suis offert une initiation à la Linogravure avec Evelyne Mary  dont j’ai découvert, en passant,  le magnifique travail (pinterest). Ses albums pour enfants sont tellement beaux (ses albums sur son site)! Allez vous infuser les yeux, c’est un conseil/coup de coeur.

Sur deux jours de stage je me suis un peu perdue en détail, un peu acharnée sur mes plaques de linoleum ( je voulais voir ce que donneraient mes dessins sur cet autre support).  Sans doute aurais-je du tester, sentir, experimenter, superposer de plus petites choses plus simples pour profiter pleinement de l’expertise d E.Mary.

C’ était, quoi qu il en soit, une très belle expérience et rencontre.

J’aimerai explorer la gravure, à mon format. J’ai pu me rendre compte à cette l’occasion de ce qui m’ irait le mieux. Pour moi ce sera plutôt la pointe sèche…

… la route du poisson

Coup de coeur … Sophie

#filmspourenfants

J’ai vu les malheurs de Sophie avec ma fille, moment sucré parfois doux-amer, univers dans lequel on se glisse sans y prendre garde, sans se rendre forcément compte sur l’instant des singularités des couleurs, du ton, des rythmes auxquels on revient par la suite, en rêveries, puisque cette enfance là nous a touché, beaucoup plus qu’on ne l’aurait cru. En tout cas ce fut mont cas- le réveil d’une nostalgie de moments qu’on n’a pas vraiment vécu , des bouts d’enfance universelle entre attachements,  abandons,  jeux, souplesse et obstination.

 

 

Les Malheurs de Sophie, 
 film français de Christophe Honoré, ( 
librement adapté de deux romans de la comtesse de Ségur .

… et aussi et presque surtout, la musique d’Alex Beaupin pour “Tout tombe”que la Grande Sophie chante en duo avec la petite (Caroline Grant.)!

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… “the cherry on the cake” Golshifteh Farahani  dans le role de  Mme de Réan.

 

Critique:  L’obs  – Elle

La prochaine fois dans cette rubrique coup de coeur:  je poste sur ma vie de courgette 🙂

Monster poster

On a cherché des posters sur internet.

Pour les murs d’une chambre devenue solo

A personnaliser.

On n’est jamais si bien servi que par NOUS même.

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fleurs en tête

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Carnet de Vacances – Marseille

DES BATEAUX ET DES PIRATES !

J’aime beaucoup ces vacances urbaines, éclaires, concentrées en musées, en déambulations expresses.

Du Marseille du pourtour du port, on revient avec du bleu dans la tête, des photos d’amphores remontées à la surface par des pourvoyeurs d’histoires, des bateaux contemporains et toutes sortes de vaisseaux mi-réels mi-imaginaires qui s’entrechoquent, images mentales hybrides et cahotiques, car on ne lit pas tout les petits encarts, trop techniques, pour les déambulateurs distraits que nous sommes!

Ils étaient comment ces phocéens? Des Grecques, c’est sûr! des colons pilleurs, sortes de pirates et marchands?

Bribes de réponses glanées au musée d ‘histoire de Marseille:

Des marins grecs originaires de la ville de Phocée qui fuyaient les invasions perses de cette époque. En arrivant, ils furent frappés par la ressemblance de la calanque de Lacydon (qui correspond aujourd’hui au célèbre Vieux-Port) avec leur ville d’origine et c’est pour cette raison qu’ils ont décidé de s’y installer.

A partir de 600 av. J.-C., les Phocéens vont fonder, en plus de Massilia (Marseille), une multitude de comptoirs sur l’actuelle Côte d’Azur : Olbia (Hyères), Antipolis (Antibes), Nikaïa (Nice), ainsi que des bases en Corse (Aléria) et en Espagne. De nombreux Phocéens viendront se réfugier dans ces colonies, après la conquête de leur ville par les Perses vers 540 av. J.-C.”

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Journal de visite – musée d’histoire de marseille

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page du carnet déambulatoire- istolar

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SB truite de mer
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page du carnet déambulatoire- istolar

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House warming decoration

Il y a souvent des maisons dans ma tête (ailleurs dans le Blog – post en anglais pour le moment…)

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BLOG/ATELIER: nos autres expériences FIMO

Masillia

  MUCEM

Fort St Jean

Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée

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Magnifique portrait d’une anonyme pour contrebalancer un autre portrait, celui de Z Zidane, un peu plus loin….

Elle s’appelait Annick Perrot-Bishop, une écrivaine résidant au Canada, née au Viêt Nam (collage revu par JR) – Sur la photo originale, Annick Perrot-Bishop est photographiée par son amie Jacqueline Ros en décembre 1966 à l’âge de 21 ans, lors d’une promenade sur le Vieux Port. JR a choisi de ne garder que son visage comme un symbole de jeunesse et de vitalité.

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Esplanade de la Tourette – Marseille – saltimbanque vêtu d’un pagne qui joue du tambourin, le pied posé sur un ballon. Il enseigne à deux oursons un numéro d’équilibriste(Louis Botinelly).

Marseille

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MARSEILLE

83000 spécimens d’animaux,

200000 spécimens végétaux,

81000 spécimens de paléontologie

8000 échantillons de minéraux.

Une partie de ses collections est présentée au public…

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All those Houses!

 

Sometimes I write in english (sorry for the grammatical and syntactic errors).  It is a remnant  from the time I lived abroad and got used to communicate with non-francophones people. Sometimes I write in french, it depends on my mood, with no logical approach….

Houses in my sketchbook are still my best connection with childhood, mine and others … drawing houses, drawing cosiness, the one we experiment as well as the one we dream about!

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I can’t help wondering what do the refugees children recently arrived in France draw? I saw this drawing on the net, a house and “HELP” written next to it.

Browsing through a few of their drawings, it seems that quite often,  there is no house at all but water, plenty of water with people struggling in the middle surrounded by empty boats.

As a former social worker, I remember when children don’t feel like drawing their dreams anymore because the abusive reality is too invasive, too brutal, they draw their reality. We, Adult, generally get shocked by it. They only draw what they see. Their reality is shocking.

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I also remember how drawings and colors change, once children feel safe again – How livid faces change, cheeks turn pink again. All the traumas remain to be taken care of, but the feeling of being secure makes room for further healing and other themes for their drawings.

 

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