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ON A RE-RE RE-RE RE …VU ” CHARLIE AND THE CHOCOLATE FACTORY! et c’était bien 🙂 #RoaldDahl4ever
Les plus jeunes aiment tellement Halloween qu’ils ont l’enthousiasme communicatif (je ne suis pas fan de l’évènement. Peu de gens se déguisent dans nos contrés ardéchoises et je ne peux m empêcher d’y voir la formidable vague marketing qui déferle sur nous depuis les années 90 – C’est embêtant! ).
L’année prochaine on préparera mieux l’évènement pour entrer dans l’ambiance sans trop acheter de morceaux de plastiques (quelques idées sont déjà sous le coude/ Pinterest ici).
Ici, sur la photo, on est tombées par hasard dans la boite de déguisements (Halloween seules dans nos têtes…pour être sûres d’avoir notre instant H)… parce que le soir même, lorsque les enfants parcourent la campagne, presque personne ne réagit au “trick or treat”, et préparent encore moins des bonbons à distribuer.
Il faudrait réfléchir à une manière de fêter Halloween qui nous aille mieux, (européens non anglo-irlandais que nous sommes) et surtout que les enfants s’y retrouvent pour qu’il aient l’impression d’un “trick or treat” réussit!
Quand on y pense, proposer une alternative impossible,”des bonbons ou un sort”, dont on sort forcément vainqueur…par le biais de l’épouvante , c’est super drôle quand même! On devrait y arriver…
On pourrait imaginer un flyer municipal plein de citrouilles pour inviter les gens à mettre quelques bonbons ou gâteaux de coté, peut être?
... et si une mamie leur offrait des gâteaux mous, tout droits sortis de la boite de “quality street” ou un bonbon octogolal menthé (AH les Vichis), on ne ferait pas la moue… !!!!! D’accord?
Blog pense bête – Allez!
Originaire des îles Anglos-Celtes Halloween est célébrée dans la soirée du 31 octobre, veille de la fête chrétienne de la Toussaint. Son nom est une contraction de l’anglais All Hallows-Even qui signifie the eve of All Hallows’ Day en anglais contemporain et peut se traduire comme « la veille de tous les saints » ou « la veillée de la Toussaint ».
En dépit de son nom d’origine chrétienne et anglaise, la grande majorité des sources présentent Halloween comme un héritage de la fête païenne de SAMAIN qui était célébrée au début de l’automne par les Celtes et constituait pour eux une sorte de fête du nouvel an. Halloween est ainsi connue jusqu’à nos jours sous le nom de Oíche Shamhna en gaélique. Elle est une fête très populaire en Irlande, en Écosse et au Pays de Galles où l’on trouve de nombreux témoignages historiques de son existence. Jack-o’-lantern, la lanterne emblématique d’Halloween, est elle-même issue d’une légende irlandaise.
C’est à partir du VIIIe siècle, sous le pape Grégoire III (731-741) et, au siècle suivant, sous le pape Grégoire IV (827-844), que l’église catholique déplaça la fête de la Toussaint, qui pouvait se fêter jusqu’alors après Pâques ou après la Pentecôte, à la date du 1er novembre, christianisant ainsi la fête de Samain.
La fête d’Halloween est introduite aux États-Unis et au Canada après l’arrivée massive d’émigrants irlandais et écossais notamment à la suite de la Grande famine en Irlande (1845-1851). Elle y gagne en popularité à partir des années 1920 et c’est sur le nouveau continent qu’apparaissent les lanternes Jack-o’-lanterns confectionnées à partir de citrouilles, d’origine locale, en remplacement des navets utilisés en Europe.
Halloween est aujourd’hui célébrée principalement en Irlande, en Grande-Bretagne, aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande et, dans une moindre mesure, dans de nombreux autres pays. La tradition moderne la plus connue veut que les enfants se déguisent avec des costumes effrayants à l’image des fantômes, des sorcières, des monstres ou des vampires et aillent sonner aux portes en demandant des friandises avec la formule : Trick or treat ! qui signifie « des bonbons ou un sort ! ».
Minotaure du trocdelile d’Ales (association d’images mentales C tout)
300 Euro … A la place d’un nain de jardin?
Habille ton Doodle
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Point commun: une couronne à porter.
Officielle,
décorative,
Fictive,
Plus le temps passe plus j’aime les portraits, les regarder, les faire, les imaginer: ceux griffonnés vite faits et ceux un peu plus aboutis, ceux en couleurs aplaties lisses des amis Adobe, ceux des musées qui m’épatent ou me glacent…etc.
J’aime cette fausse immobilité, j’aime quand dans l’expression d’un visage se concentre l’action compressée d’une vie, d’un récit non officiel, non reconstruit.
Mes portraits sont souvent si pensifs, tellement en introspection qu’il en sont un peu tristes. Je voudrais changer cela mais je m’en souviens toujours trop tard; lorsque la moue est fixée. Ainsi la reine a l’air de trouver sa couronne trop lourde. Elle préfèrerait être ailleurs. Ces faux portraits, sans codes ou portrait pas officiels du tout, en façon doodle, restaurent un équilibre. Telle est mon expérience tout au moins.
Un peu de couleur sue les sketches…
Inktober est une opportunité de s’organiser des séances de doodles chaque jour avec des thèmes qui nous décentrent un peu de nos habitudes graphiques. L’idéal aurait été de remplir complètement ”le contrat” d’un dessin par jour. Je suis très très loin du bout du compte! Je n’ai souvent pas su trouver le temps pour dessiner, et après des pauses involontaires, je me sentais auto exclue de l’expérience, sortie du rythme inhérent au projet.
Une fois acceptée l’idée que je ne serai pas, cette année encore, une véritable “inktober girl”, je me suis sentie libre de piquer ça et là des thèmes. Plutôt que de dessiner directement, je me baladais sur Wikipedia, je notais des infos sur le mot du jour (ou des jours précédents, selon l’humeur) pour en faire un exercice un peu différent …m’inspirant:
#errance graphiques
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Il a fait chaud dans tout le département alors que d’habitude:
– Le nord de l’Ardèche a un climat de type océanique atténué
– Le sud de l’Ardèche et la basse vallée de l’Eyrieux a un climat méditerranéen
– La Montagne ardéchoise a un climat extrêmement rude que l’on pourrait qualifier de montagnard
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Il y a:
Des Fleurs qui osent la vivacité
Des pt’it Dej, le nez pointé vers le soleil bas
Des tomates cabossées…mais des tomates quand même (suggestion de Chutney de tomates vertes)
De la rosée qui s’évapore avant 9.00 H
et des Châtaignes au rendez vous!
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Ponctuellement agréable mais globalement alarmant,
N’est-ce pas?
Pour réaliser cette compotée de tomates, commencez par préparer vos pots stérilisés qui vont contenir cette recette de chutney de tomates. Lavez les tomates vertes puis pelez-les.
Epluchez ensuite les oignons, l’ail et le gingembre. Coupez tout ces ingrédients en dés. Enlevez les pépins des piments. Puis découpez-les en tranches fines.
Pour la cuisson, versez le sel, le sucre et le vinaigre dans une grande casserole. Porter à ébullition jusqu’à ce que le sucre soit complètement fondu dans le vinaigre balsamique.
Versez ensuite les tomates vertes, les oignons, le gingembre, l’ail et les clous de girofle. Puis les graines de fenouil, de poivre noir, le sel et les piments.
Mélangez et laisser cuire cette préparation de chutney pendant 30 minutes.
Versez cette confiture de tomates confites aussitôt dans vos pots.
Fermez le couvercle et retournez-les afin de chasser l’air.
Une fois les pots à température ambiante, vous pouvez les conservez jusqu’à dégustation.
Servez ce Chutney sur des tranches de pain grillées… (cuisine AZ)
Je vous en donne des nouvelles
Sinon les valeurs sures sont:
Une ami m’a offert ce livre “Frida Kahlo, ses photos” qui contient essentiellement des photos retrouvées dans une armoire de la maison familiale de l’artiste. Le peu de texte qu’on y trouve permet se rendre compte de l’importance de la photographie dans la vie et l oeuvre de Frida Kahlo et de l’influence de la passion paternelle pour la photographie.
Frida Kahlo s’intéresse très jeune à l’art, en particulier à la photographie, sous l’influence de son père. L’artiste passe énormément de temps avec lui dans sa chambre noire, afin de retoucher des plaques et des photographies. Guillermo Kahlo prend également un grand nombre de clichés de sa fille, de l’enfance à l’âge adulte. Il réalise par ailleurs plusieurs autoportraits, qui ne sont pas sans rappeler ceux peints par Frida Kahlo.
Elle gardait des photos d’amis et de connaissances pour conjurer la solitude et pratiquait l’échange de portraits d’amis ou de personnes admirées. Elles les annotait, les coloriait, les découpait, les embrassait (marque de rouge à lèvre). Parfois elle découpait même les têtes des photographiés dont l’identités de certain n’a jamais été établie.
En découvrant, dans ce livre, une des origines de sont rapport au portrait et à l objet papier qu’est l’image photographique, je me suis dit qu’aujourd’hui, Frida aurait été une une virtuose absolue de photoshop!
Frida sut très tôt exploiter la puissance artistique de l’image “devant ou derriere l’appareil, elle se cree une personnalité nette et forte”
Frida dira: (P 21) : “Quand mon père me prit en photo après mon accident, Je savais que le champs de bataille de la souffrance se reflétait dans mes yeux, des lors je résolus de regarder droit dans l objectif, sans ciller, sans sourire, décidée à monter que je serai une bonne lutteuse jusque au bout”
Son père prenait professionnellement des clichés industriels avait la passion de l’autoportrait. Ses photos étaient personnelle. Il ne les publia et ne les exposa pas. Il a beaucoup utilisé la photographie pour communiquer avec sa famille. Au fil des années il établit une communication plus visuelle que verbale, intense et mélancolique :“de temps en temps rappelez vous de l affection que votre père a toujours eu pour vous”.
Mon emploi du temps (petite révolution organisationnelle qui fait du bien 🙂 ) de rentré est serré, tellement serré que je n’arrive pas à m’y conformer complètement. Pour autant, il remplit bien son rôle de maitre des horloges bienveillant- Bravo à lui!
A mon petit désarroi, il ne reste plus de temps pour les Fridas … pour le moment.
A écouter ici: le récit est terrible mais nécéssaire:
“Marceline Rozenberg, fille d’émigrés juifs polonais, a quinze ans quand elle arrive au camp de Birkenau – le camp d’extermination du complexe d’Auschwitz. Elle en sort dix-huit mois plus tard, à la fois affamée de vie et blessée à mort. Elle épouse un beau garçon au nom bien français, le quitte, hante les nuits bleues des caves de Saint-Germain-des-Prés, entre au PC, claque la porte, porte les valises pour le FLN, s’engage pour l’avortement, prend risque sur risque… Rencontre le grand cinéaste Joris Ivens : une histoire d’amour et de cinéma commence. La voilà au Vietnam sous les bombardements, à Pékin pendant la Révolution culturelle… Si les camps de la mort ont empêché Marceline de suivre des études, elle a su apprendre de la vie les leçons essentielles, et en a tiré une oeuvre cinématographique pleine d’audace et de poésie. Actrice pour Jean Rouch, coréalisatrice avec Joris Ivens, réalisatrice de La Petite Prairie aux bouleaux, elle a l’estime indéfectible de la critique et des cinéphiles. Petite, rousse et frisée, Marceline Loridan a tout du lutin – feu follet, trublion, cancre… Même dans le camp de Birkenau, elle fait des pieds de nez au Diable, vole une marmite de soupe, raconte des histoires drôles, se fait des amies “pour la vie” dont Simone Veil. Pas vraiment révolutionnaire, plutôt chahuteuse et dérangeante, Marceline n’a jamais cessé de flirter avec la mort. Son rire a parfois les accents du désespoir ; elle s’amuse du bal zazou qui a précédé son départ pour Auschwitz, évoque le suicide de son frère, hanté par la Shoah au point de se prendre pour un SS, rend hommage à Joris Ivens, l’homme de sa vie dont le corps était ” beau comme un vieux chêne “… Dans le récit de vie de Marceline, on ne trouve jamais de regrets, mais une infinie lucidité et une autodérision aussi salutaire que savoureuse“. http://jeanchristophecote.overblog.com/marceline-loridan-ivens-wikip%C3%A9dia
Autre ressource ( Europe 1): “Il n’y a pas d’épilogue à la tragédie”
Elle dit la même chose que Simone Veille, à savoir qu’il ne suffit pas d’être capable de parler, il faut aussi que les gens soient capable d’entendre. C’est quelque chose qui résonne en moi depuis de nombreuses années, lorsque j’étais travailleuse sociale en protection de l’enfance déja.
Elle dit aussi aux enfants dans les écoles: “Vous avez une force vitale que vous ne soupçonnez pas, vous ne pourrez la soupçonner que le jour ou vous l éprouverez ) – Elle est là, il ne faut pas lâcher”
Hercule Slaying the centaur who tried to steal away Hercule’s wife only to be killed by the centaur’s poison blood
– a hero defeating an evil
– One single Block of marble – How impressive!
Help! I have a pigeon on my head!!!!
Nous avons déambulé; un 15 Aout, dans un beau damier
En Italie, quand un jour est férié, tout est fermé…. Heureusement, dans de grandes villes touristiques comme Torino, les musées nationaux sont en général ouverts et tous les musées privés suivent les jours fériés. A savoir…
Pas de rues qui en rattrapent une autre par des raccourcis improbables, tout est parallèle et perpendiculaire, et aux croisement de beaucoup d’entres elles, d’immenses places parfaitement carrées tout au moins rectangulaires. et pourtant les façades dansent.
Deux églises jumelles de San Carlo et Santa Christina.
⋅
La galerie des offices (ancien bureaux de la famille des Médicis) l’un des plus beaux musées d’Italie et du monde! Il faudrait, pour s’en rendre compte, pouvoir, par magie, diminuer l’afflux de touriste. Même les Venus, “printemps” et “Naissances”, aussi belles soient-elles, deviennent floues, elles se font voler leur oxygène par le monde venu les contempler.
Pour autant, Merci Botticelli, mon hero de Firenze!
Parmi les claires obscures des thèmes religieux qui semblent retirer une certaine jouissance de la souffrance, se découpent des visages d’une légère mélancolie dont la lumière souligne les détails sculpturaux et les drapés intégrés dans des compositions complexes. Malgré des références historiques, une forme de méditation féériques domine. Big up la poésie 🙂
Un article de Geo décrit en bien un Botticelli qui “ne s’attarde pas sur les faiblesses humaines, mais il illustre plutôt un parcours tendant vers une morale où la bonté et la beauté se confondent. Madones, déesses, couleurs riches et transparences se multiplient dans ses toiles. Mais à la perfection langoureuse se mêlent parfois l’inquiétude et le doute au détour d’un regard étrange ou d’un décor plus sombre. “
Mais qui était Simonetta Vespucci, une muse de premier ordre… je vais de ce pas lui créer un écrin Pinterest pour me préparer à faire sa connaissance.
Galerie Palatine , dans la résidence Médicis, le palais Pitti.
⋅Après des heures passées dans le musée Uffizi, malgré la profusion et la qualité des oeuvres exposées, il y eu de la lassitude. Une infinité de tableaux d’art religieux (les flancs percés et têtes coupées,salles après salles, peuvent assombrir l’humeur, si,si… nous en fûmes les témoins!) et de clairs-obscurs ont eu raison de nos énergies. De plus, la salle des esquisses et des gravures était FERMEE. Nous restions donc sur notre overdose du personnage Jésus et de vierges en majesté.
Et pourtant, une douce et lumineuse mélancolie fut rendue possible par Signore BOTICELLI et l’expression retenue de ses personnages !!!! ( post à venir) ♥♥♥
Nous avions emporté, nos carnets de croquis mais la saison touristique n’appelait pas la flânerie “graphite & Papier” de nos imaginaires. Afin de pallier cette frustration, nous avons décidé de passer les deux heures qui nous séparaient de la fermeture de tous les musées de Firenze dans les salons de la Galerie du costume du palazzo pitti où la perspective d’une exposition sur la mode a tonifié nos composition.
Pour passer de l’Uffizi au palais Pitti, il nous fallut courir sur le beau Ponte Vecchio et sa couverture d’estivants. Je vous en met quatre de plus mon joli pont!
Aussi élevées que furent nos intentions, nous étions, tout bien considéré, 4 touristes de plus sur LE pont, avec tous les stigmates qui s’y rattachent.
Ponte Vecchio
L’exposition retrace les grands mouvements stylistiques d’Italie, rassemblant des pièces exceptionnelles de prêt-à-porter et haute couture… Nous y avons vu de très belles robes (photos ci dessous) mais, je nous le donne en mille ! Tadammm, une panne d ‘électricité – non annoncée – nous prévenait de voir un bon 80 % de l’exposition.
Seule la plus jeune d’entre nous (Bravo) s’est accrochée par obstination ou pour la beauté du geste, au projet de dessiner dans le musée. Quand à moi, je pensais littéralement avec mes pieds. Solution de fortune: une bière fraiche et exorbitante comme tout pansement d’âme.
La condition de touriste est une experience totale, aucun échappatoire n’est possible, alors on se laisse aller au flot “humano-économicus”.
Pour autant, en plus d’avoir partagé le même temps, nous avons fait provision d’images mentales à diffusion prolongée et mesuré notre relative inculture historique. C’est fondamental! –
donc à refaire si possible! – hors saison cette X – pour pouvoir déambuler sur un pont.
CHLORURE DE MAGNESIUM ET CHLORURE DE SODIUM
Le plein s’il vous plaît!
Rodin au musée Israel à Jérusalem
La mer morte s’évapore
Braderie: mère et fils à – 50 % ! Joyeux Hanukkah! Thé à la menthe en escale à Istambul
Thé à la menthe en escale à Istambul
ïle de sel
Citrons, mon exotisme!
Epices de Barkha
Au Nord… (Maalot Tarshiha)
Cueillette de sel
Vue de la Knesset
Huile d’Olive – Vente en gros!
Beauté absolue et désastre écologique mêlés
♥
Dès que possible, on aime faire un tour au “Israel Museum”. Cette fois ci, nous avons déambulé parmi les sculptures, les performances, les photographies et l’architecture de l’artistiquement “fort en gueule” et en communication, Ai WeiWei!
Il nous entraine à penser la déculturation, à réfléchir sur le capitalisme anarchique se développant en Chine et par extension ailleurs, sans respect de l’histoire ni de la culture.
♥
“L’usage de matériaux nobles (jade, porcelaine, marbre, bois de huali, soie) rappelle que Weiwei n’est pas qu’un homme d’affaires devenu expert en communication, comme l’affirment ses détracteurs. Il demeure un architecte et artiste attaché à l’artisanat traditionnel de son pays, qu’il continue de faire vivre dans ses studios de Berlin (il y est exilé depuis deux ans avec sa compagne et son fils) et de Beijing (par ses employés). Il travaille avec les meilleurs artisans, se définissant lui-même comme un potentiel « pont entre passé et futur»”. Télérama
Watch Behind the scene on Vimeo
“May be, May be not” (design boom presentation)
« L’animal qui ressemble à un Lama mais est vraiment un alpaga » – ??? – A creuser 🙂
Le papier peint du mur évoque l’incarcération : chaines de menottes et caméras de surveillance.
LEGO
(Eng)(FR) Tryptique photographique en noir et blanc représentant l’artiste. Sur le premier panneau, il tient une urne vieille de plusieurs millénaires, issue de la dynastie chinoise des Han. Sur le deuxième il la lâche. Et sur le dernier, elle est brisée. Triple symbole : ce geste signifie à la fois le besoin de se libérer d’un passé devenu trop encombrant. Il fait aussi référence à deux épisodes de destruction massive du patrimoine culturel chinois : la Révolution culturelle de Mao Zedong (1966-68) et le virage néo-libéral de Deng Xiaoping qui, de retour sur la scène politique chinoise dans les années 90, incita les Chinois à s’enrichir. Quoi de plus étonnant aussi que de découvrir non loin, posé au milieu de pierres anciennes un smartphone en jade noir, roche semi-précieuse qui longtemps, symbolisa en Chine le pouvoir absolu de l’Empereur.
La guerre des légos (article – vice new) La société danoise a expliqué avoir modifié sa politique afin d’éviter d’éventuels « malentendus » survenus d’une politique « pouvant paraître contradictoire. » Dorénavant, les clients « seront priés de préciser — s’ils désirent exposer leurs créations LEGO en public — que le groupe LEGO ne soutient ni n’approuve les projets concernés. »
UNFORGETTABLE SUNFLOWER SEEDS
(Engl)
(ENG) Article (great pictures of the seeds) in De Zeen
(FR) graines de tournesol L’œuvre est constituée de plusieurs millions de représentations de graines de tournesol ; elle joue avec une métaphore célèbre de Mao Zedong où le peuple chinois devait se tourner vers lui comme les tournesols vers le soleil. Les graines de tournesol en porcelaine peintes à la main par 1 500 artisans et ouvriers de la ville de Jingdezhen (dont la porcelaine est historiquement l’activité économique principale et qui traverse une crise de l’emploi sans précédent) dont 13 tonnes sont disposées au sol, comme autant d’individus qui, rassemblés, incarnent l’humanité entière
Carnet en poche, j’ai dessiné un peu à Cadiz … Comme Marseille et consort, ces villes de bord de mer, construites autour d’un port protègent les fantômes des marins glorieux ou piteux qui les ont faites et défaites. L’océan et la mer s’y croisent, on y pense en scrutant l’eau. L’Afrique et l’Amérique ont la vue plus longue grâce à Cadiz … et l’Inde toucha l’Europe. Des colons sont partis d’ici et là, pour des épices et pour le pire. La cathédrale était bardée d’échafaudages, dommage!
MAISONS BLANCHES, VIERGES NOIRES ET ARABESQUE
Vejer de la Frontera – Campagne cadixoise (Quelle gentilé!)
On a échangé des maisons et on a vu des brebis basco-béarnaises! Elles ont un profil busqué. et une toison semi-ouverte à mèches longues. Leurs cornes tournent en spirale autour de l’oreille inclinée.