La duchesse Zinaida Yusupova était une noble russe née le 23 septembre 1861 et décédée le 24 novembre 1939. Elle était membre de la famille aristocratique Yusupov, l’une des familles les plus riches et influentes de la Russie impériale. Zinaida était la fille du prince Boris Yusupov et de la princesse Tatiana Alexandrovna.
La famille Yusupov était connue pour ses vastes richesses et sa participation à la vie sociale et culturelle de la Russie. Zinaida Yusupova s’est mariée avec le prince Felix Yusupov en 1889. Felix Yusupov est devenu célèbre pour sa participation à l’assassinat de Raspoutine, conseiller mystique de la famille impériale russe, en 1916.
La vie de Zinaida Yusupova a été marquée par la Révolution russe de 1917, qui a entraîné la chute de la monarchie et la disparition de la noblesse russe. Après la révolution, elle a vécu en exil en France avec son mari. La duchesse Zinaida Yusupova a survécu à de nombreux changements politiques en Russie et a vécu une vie tumultueuse jusqu’à sa mort en 1939.
George Sand est le pseudonyme d’Amantine Aurore Lucile Dupin de Francueil, baronne Dudevant, romancière, auteur dramatique, critique littéraire française et journaliste.
J’ai trouvé cette photos sur pinterest avec pour seul ‘credit’: “two pals, 1920”. C Tout!
L’idée de travailler a partir de photos est de reprendre les lignes de l’image, l’énergie de la composition et progressivement au fil du dessin, se l’approprier sans trop y penser.
ici C’était un peu comme ‘croquer’ la connivence entre ces deux ‘guys’
image finale faite avec procreate en utilisant le pinceau : sketching – HB pencil
Au dessus des têtes, une mine d inspiration pour des motifs botaniques :
Au plafond de la salle principale, des panneaux peints illustrant les plantes importantes pour l’Angleterre au 19ème siècle que ce soit pour leur rôle économique (café, coton, tabac), ou horticole (le chêne trouvé dans les campagnes anglaises ou encore les citronniers ou les arbres fruitiers trouvés eux dans les colonies anglaises).
Hintze Hall (museum built between 1873 and 1880) is the largest public gallery in the Museum. A blue whale skeleton is suspended from the ceiling as a reminder of humanity’s responsibility to protect our planet. It is surrounded by specimens that represent the history of our solar system and life on Earth.
Exposition co-produite par le Musée des Arts Décoratifs, Paris et le Dallas Museum of Art, avec la collaboration exceptionnelle du musée du Louvre et le soutien de la Maison Cartier.
… “montre les influences des arts de l’Islam sur la production de bijoux et d’objets précieux de la Maison de haute joaillerie, du début du XXe siècle à nos jours. Plus de 500 pièces – bijoux et objets de la Maison Cartier, chefs-d’œuvre de l’Art islamique, dessins, livres, photographies et documents d’archives – retracent ainsi l’origine de cet intérêt pour les motifs orientaux. “
Au rez de chaussée, on a vu des pieces dessinées en toute précision pour cette exposition, les ‘sur’ et les structuraux ‘sous’ vêtements de bal, depuis le 18 eme siècle, la guerres mondiale, la grande dépression, jusque dans les années 80. ou comment le bal, depuis ses origines européennes jusque dans les soirees d Hollywood constitue un billet d entré dans un certain monde
A l étage “The Modern Ball: Israeli Couture“, donne un aperçu de l industrie israélienne de la haute couture et de sa reflexion sur une société aux singularités cuturelles plus ou moins ouvertes sur l’extérieur, toutes concernées par l’habit de bal et participant d une réflexion philosophico-artistique rendue visible par cette exposition. Point de vue captivant. En cette période de covid, le fond et la forme furent bienvenues …
La partie sur les souliers de vair/vert m’a moins saisie: des chaussures transparentes imprimées en 3D. Mon intérêt décrocheur fut plus une histoire de timing qu’autre chose, me semble-t-il.
En ce qui concerne “les gateaux /chapeaux” –“The Whipping Room and the Mad Hatter,” -je n’ai pas du comprendre le propos… des dessert, comme un rite de passage des grands évènements… On ne pouvait pas ne pas penser à “Alice “, c’est certain. Il s”agissait de vrais desserts sculptés à la main! sur des chapeau et/ou en forme de chapeaux… avec 1000 heures de vie … si si si ! je suis passée à côté, là aussi. les sculptures de macarons: pas mon truc.
(Quelques articles (svt en anglais) sur l’exposition en fin de post)
(FR)
Le Musée du Design de Holon est le premier musée consacré au design en Israël. Le bâtiment du musée a été conçu et dessiné par l’architecte et designer industriel israélien Ron Arad en collaboration avec l’architecte Bruno Asa.
“When I started to work on it, people asked why it’s so important in our lives. And then escapism became the central thing in our lives all over the world.”
“The first part of the exhibition is dedicated to the history of proms. They developed in the middle ages in Europe, and were closed to the aristocracy and the rich. Through fairy tales, proms became available for everyone to imagine, to dream and to become a part of the escapism,” says Keydar.”
… “To give the Israeli take on the ball, Keydar invited dozens of Israeli designers to participate in the exhibition, among them Sharon Tal of Maskit, Shahar Avnet, Vivi Bellaish and Alon Livne.”
…” a multi-sensory theatrical exhibition of dress and evening wear designs”
“we wanted to go beyond the traditional fashion exhibition presentation and form a new language that allows the visitors to feel as if they are both spectators and participants,” said Maya Dvash,
“120 gowns and 50 accessory pieces are presented with sound, music, scenery, and lighting, creating an immersive space that encourages a dialogue with visitors revolving around Israeli fashion, culture, and society. “
“The Ball” goes beyond the opulent surface of fashion design, and delves into its connection with the community of designers and users. “
Style curates (article /more pictures from the exhibition)
“In a groundbreaking exhibition that draws parallels between fairytales and high fashion, The Museum at FIT presents red hoods, ballgowns, ruby slippers and other fashion finds buried in tall tales written by the Brothers Grimm, Hans Christian Andersen and others.”
Middle east.in list ans analyse the artist participation to the exhibition:
For instance one of (from my point of view) the most impressive creation was “My Jewish Wedding” by Tal Medina”.
She “Uses wallpaper, silk and wool, feathers and synthetic furs. The models participated in a final project in the fashion design department, Shenkar. The project deals with closed communities from the ultra-Orthodox current and examines the tension between culture, faith and conformity, and between independent thought, freedom and individuality. The collection combines wallpaper, silk and wool fabrics identified with the ultra-Orthodox clothing, and feathers and synthetic furs, which are reminiscent of the animal world.”
Les maisons de Tokyo réalisées en aquarelles de Mateusz Urbanowicz? sont magnifiques.
En les regardant j’ai pensé en digressant à toutes les maisons étroites que je connaissais: les si jolies maisons victoriennes mitoyennes de Londres avec leur carré de pelouse en arrière cours, puis les maisons de villages collées aux routes d’Ardèche ou quasi posées sur la nationale 7. J’ai voulu dessiner l’une de ces derrières (sans la route). Pour cela j’ai choisi comme référence une maison rose à Charleston- South Carolina dans un quartier historique aperçue sur un site etsy – Logique n’est-ce pas?
Au départ je l’ai tracée pour poser les aplats de couleurs et par la suite j’ai oublié le modèle pour me concentrer sur le traitement des textures avec une seule “brush” procreate, dans le pack “artistic”: AURORA.
l’appli est facile d’approche. Il suffit d’ouvrir un tuto pour apprendre, comprendre et l’expérimenter. Jamais je ne me suis sentie, sur écran, connectée à mon expérience première du dessin d’enfance. On est au plus proche du dessin sur papier avec tous les avantages et les opportunités des applications numériques.
Il s’agit toujours d’un écran/ipad , ne plus faire passer des heures et des jours face à l’ordinateur est une bonne nouvelle pour moi. Voilà l’opportunité de dessiner sur écran assise en tailleur sur le sol, coincée entre deux coussins ou à l’ ombre d’ un arbre.
Si je devais retenir une seule qualité, une action fétiche de cet outil, ce serait celle de peindre. Les ‘brushes’ du ‘pack’ procreate sont déjà variées et magnifiques (émerveillement quand tu nous tiens!). Il est, de plus, facile de s’en fabriquer ou d’en télécharger d’autres, elles imitent à la perfection les pinceaux et les peintures que l’on connaît.
Ayant, ces dernières années, été occupée (illustrations du livre “Luno, à paraître) avec photoshop, où mes dessins scannés ont eu tendance à disparaître sous les juxtapositions de textures. C’était un choix et une méthode qui me convenaient jusqu’à présent, mais je m’étais, ce faisant, éloignée du geste du crayonné et/ou celui de la peinture. Tout est revenu soudainement, avec cette application: voilà mon émerveillement. je n’avais pas mesuré combien cela m’ avait manqué.
Voici le portrait du marin qui existe en plusieurs versions ( V1 – V2) dont un GIF (autre petite pépite de procreate: l’ ”animation assist” ou possibilité de créer un mouvement avec quelques séquences.
J’ai choisi de faire entrer le petit poisson vert dans l’oreille du monsieur. La tête devient un tunnel… ou le poisson devient une pensée qui passe par la tête 🙂
J’essaie de peindre avec le moins de “layers”possible, pour garder cette effet ” tradition” ;-). Même si , je le reconnais, c est quand meme très pratique, une barbe amovible!
English
Procreate is full of promesses
All you have to do is to open a tutorial to learn, understand and experiment your own way to draw with this great tool. I haven’t felt so connected to my experience of drawing from childhood for a long time. It feels as close as possible to drawing on paper with all the advantages and opportunities of digital applications.
It’s a screen but still, not having to face the computer screen for hours and days is a good news for me. It is the opportunity of drawing pleasantly, in a cross-legged position on the floor, wedged between two cushions or in the shade of a tree.
If I had to retain one quality only about this tool, it would be that of painting. The brushes in the procreate pack are already varied and beautiful and it’s easy to make or download others, they perfectly render the brushes and paints effect we know. A pure graphic happiness!
In recent years, I have been busy (illustrations for the forthcoming book “Luno, ) with photoshop. My scanned drawings tended to disappear under the juxtapositions of textures. It was a choice and a method that suited me until now, but in doing so I moved away from the gesture of sketching and / or painting. All that came back suddenly, with this application, I did not realise I missed it so much until now.
Here is the portrait of the sailor which exists in several versions (V1 – V2) including a GIF. I chose to direct the little green fish toward his ears. The head becomes a tunnel or the fish becomes a thought that crossed his mind 🙂
I tried to paint with as few layers as possible, to keep that “traditional” effect. but I have to admit that a removable beard it practical!
Pour ce portrait, l’image d’inspiration (aucune recherche de reproduction) est une photo en noir et banc du pêcheur anglais Walter “Catty Allen photographié par Olive Edisen (1910). Cette photo a été colorisée par le photographe Mario hunger. La collection de son travail de colorisation est ici.
Mon objectif (pas tout a fait atteint ) était de m’approcher du grain et la simplicité des traits d’un illustrateur dont j aime énormément le travail – Tristan Gion.
Français: J’avais dessiné (avec procreate) des fleurs que je voulais fragiles et texturée pour compléter ma reserve de” fleurs pour futur motifs sans coutures” bref des patterns. Le rendu était si kitch que j’ai eu envie de les poser sur de la porcelaine pour qu’elles se sentent dans leur élément.
English: I wanted to draw (avec procreate) some fragile and textured flowers to complete my stock of “flowers for future seamless patterns” . The rendering was so kitsch that I wanted to put them on porcelain surface for them to feel at ease.
Je suis heureuse de revenir sur le Blog. J’ai fait une longue pause pour finir les illustrations du livre “Luno”.
La reprise d’un ancien projet c’est un peu comme un nouveau projet qui démarre. Je ne l’oublierai jamais…
L’auteur, Yael Altuvia, finalise, actuellement, les derniers détails du texte. Sa profession principale ne l’amène pas, à priori, à écrire des histoires pour enfants puisqu’elle est chercheur en génétique à l’université Hébraïque de Jérusalem. Elle a créé Luno sous forme d’histoire du soir pour son neveu, il y a de cela plusieurs années. Yael est très proche de l’univers des enfants, des mémoires de sa propre enfance, des histoires qui les fondent et des jeux en général. Quelque chose me dit qu’elle a d’autres histoires en réserve…
Elle finalise, actuellement, les derniers détails du récit. C’est un texte original en Hébreu, langue dans laquelle les livres pour enfants s’écrivent, pour la plupart, avec des pointage des voyelles, ou “niqqud”.
Les nikkudot sont de petits signes, comparés aux consonnes qu’ils complètent, et ont ainsi l’avantage de pouvoir être directement ajoutés sur un texte n’en comportant pas.
Yael a ajouté les “niqquds” mais cela requiert en fin de course la supervision d’un professionnel avant édition.
“Lost in translation”
Notre petite équipe composée de Yael (auteur), Zohar (coordinateur), moi même (illustratrice), Dina (designer graphique) avait naturellement pensé solliciter un traducteur Hébreu/Français. Mon hébreux courrant rencontre assez vite ses limites de précisions. Je suis entourée, il est vrai, de personnes hébraïsantes dont le très bon français peut aussi connaître ses limites pour un exercice de traduction.
Une page d’essai, joliment traduite par une talentueuse professionnelle, m’a cependant amené à réaliser qu‘une transcription plutôt littérale du texte ne rendait pas exactement justice à l’histoire de Yael.
Comme beaucoup d’histoires pour enfants en hébreu, le texte originalement écrit en rimes, se privait en traduction ( sans rimes), d’un supplément d’âme.
Il n’était pas dans mes plans de me replonger dans l’aventure Luno une fois les illustrations finies. J’en suis pourtant arrivée à la conclusion que je devais m’essayer à une écriture plus globale, plus “intuitive” en m’appuyant sur ma proximité avec le texte et l’auteur. En effet, avec Yael, nous avons beaucoup échangé autour de l’illustration sur des details (les feuilles qui tintent, la couleur du pull, le rose du ciel …etc.) et donc indirectement du texte, de ses origines, des images mentales des uns et des autres. Je décidais donc m’en servir pour le passage de l’histoire au français.
Je suis restée au plus près du texte lorsque cela me paraissait possible. Par exemple: une expression traduite mot à mot qui fonctionnait avait priorité sur le reste. J’ai porté une attention particulières à garder les phrases courtes de Yael, laissant peu de place à l’abstraction car elles étaient l’expression de l’univers mi enfantin/ mi pré-ado des personnages, de leurs reflexions simple et instantanées, qui pourtant, au bout du compte, (Quel teasing! 🙂 ) sont porteuses de pousses de nature philosophiques.
Pour re-créer l’atmosphère rimée autrement, il m’a semblé que le français appelait plus d’adjectifs pour décrire les paysages et les tonalités des dialogues très courts – bref, un peu plus de contexte. J’ai laissé des petits bout de rimes à des endroits stratégiques mais pour le reste j’ai pris les libertés autorisées par Yael et la langue française. La structure et le rythme caractéristique du texte hébreux restent en place.
Tel était mon objectif, respecter au plus près le récit de Yael en me permettant quelques interprétations notamment descriptives.
french translation (extrait)
“Chaque petit matin, en chemin vers les pâturages, Luno fait halte chez le marchand de légumes. Celui-ci, lui donne, des tomates, des concombres ou des radis, selon la saison. Puis, continuant sa route, il s’arrête chez la fromagère qui coupe à son intention une belle tranche de fromage salé.
Un peu plus loin, il attend le boulanger qui lui remet un pain rond de préférence, légèrement doré, parsemé de graines de sésame, avec parfois, en supplément, un petit pot de miel pour l’adoucir à l’envie.
Entre deux visites, Luno se promène en jouant ses airs de flûte, pour le plus grand plaisir des villageois qui viennent à sa rencontre.
Un matin, en tout point comme les autres matins, Luno se rend, comme à son habitude, chez le marchand de légumes, le fromager et le boulanger. Mais, à l’étonnement général, dans sa foulée, pas un son ne l’accompagne, pas une mélodie ne retentit.” …
I eventually finished the illustrations for the ”Luno” book (Work handed over by now). Let’s admit: to resume an old project is slightly like starting a new one. I believe I leaned my lesson :-).
At some point I realised I needed to concentrate full time on finishing the job. I gave the internet site up for too long. After a very long Break, I am happy logging into my blog again. 🙂
Yael is a researcher at the Hebrew University of Jerusalem. She invented Luno as a bedtime story for her nephew when he was a little boy. She is very close to the children’s universe, she has always liked plays and games in all sort (music, sport, boeds games…etc.). She’s got a vivid memory of her own childhood she describes as being a very happy time filled with stories, family and friends.
Yael is currently finalising the text originally written in Hebrew, adding what it’s called “niqqud” or “dotting” which require, at the end of the process, the supervision of an expert. The book will be published in Israel first.
Lost in translation
We (writer , illustrator, project leader, art designer) had planned to have the text translated in French by a professional but somehow, I came to the conclusion that I should be doing the translation myself. What a weird idea! It wasn’t into my plans t to dive back into the “Luno” project after I closed my illustration part but ,as a matter of fact, I did it. Beside, I have to say that at the end I quite enjoyed tackling the exercise.
How it happened? We first asked a young talented translator to submit one translated page. I realised, then, that the text was fine but also calling for an overall translation process rather than a literal one. It did not resound well enough in French without its rhythmic form. Re-writing rimes is quite impossible except for poets. Isn’t it?
After I received the author’s permission to give it a go, I volunteered to had a go at an “intuitive”, “global” translation. I tried my best to respect the texte line after line as much as possible.
As for instance, I kept:
the original short sentences leaving very little room for abstraction.
the repetitions which weren’t real repetitions but rather participate to create a rythme and a kind of naive childish way of talking.
the shape of the text (as often as possible).
Sometimes, a word for word translation would fit just right, on other occasions, the text would dress up better with more adjectives in french to settle the atmosphere (& ‘replace’ the rimes) as well as re-creating the nature of the “tempo”.
That’s the way I felt about it: respecting Yael’s texte and intentions were paramount for me while allowing myself to also interpret the scene.
I hope i managed it not too badly. At the end, I quite like the correspondence between the Hebrew and French version.
Reprendre ”LE” Projet, c’est reprendre une technique de collages digitaux, textures sur textures, découpes vectorielles avec Photoshop…etc. C’est un processus qui prend son temps dans la mesure ou chaque détail est exécuté séparément.
Si je devais commencer aujourd’hui, Je reconnais que je m’y prendrais autrement afin que le temps de réalisation ne soit pas aussi démesurément long! La suite de ce projet (commencé il y a quelques années et laissé sur le côté quasi involontairement) doit se poursuivre selon le même coup de main, question d’homogénéité. Le moment plaisir étant l’assemblage du tout.
Plus il s’inquiète, plus son visage s’allonge… presque jusque qu’au nombril.
Il se tient sur le globe (sur la planche finale).
Ses idées se bousculent..
Il est plutôt du genre introspectif, notre personnage…
(FR) Voilà, le berger intemporel est de retour! – Je pensais avoir quelques difficultés à me remettre dans le projet (projet vieux de 4 ans abandonné selon la formule consacrée pour ” raison de santé”… et autres aléas associés.
On retrouve alors des lignes (physionomie du caractère essentiellement) que l’on a tellement tourbillonnées et entortillées qu’elles sont restées en sommeil au bouts des doigts, comme une “sub-mémoire” graphique.
L’attaque (Oh le terme guerrier en toute exagération !) se fait par la page qui m’avait posée quelques problèmes alors, celle où le personnage s’inquiète tellement que son visage s’allonge jusqu’au nombril. Le dilemme étant que lorsque on allonge le visage d’un enfant, il devient ado voir une sorte de freak qui ne ‘match’ pas avec le reste des image du livre.
Quoi qu’il en soit, c’est un sentiment agréable que celui de finaliser les choses, ne plus laisser trop d’énergie vitale et créatrice se dissoudre dans l’air.
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(ENGL) That’s it! The timeless shepherd is back! – I thought I would have some difficulties to get back into this project (a 4 years old project abandoned for “health reasons” and other associated hazards). I once swirled the lines of the main character in so many directions that they remained dormant at my fingertips, like a graphic “sub-memory”.
I just resumed the drawing by a rather problematic page to me, the one where the character is so worried that his face stretch down to to the belly button.
The dilemma is that when you lengthen a child’s face, he starts to look like a teenager or some kind of freak that does not match the rest of the story.
At the end of the day, it feels quite good to carry on and aiming at finalising a project in which we believe.