Karl Blossfeldt – Photograph

Plant photographs capturing the sensual beauty of nature from Urformen der Kunst (Archetypes of Art) (1928) by Karl Blossfeldt (1865–1932).

Blossfeldt was known for his technical mastery of macro photography where he magnified the alien beauty of nature through his close-up portraits of plants, twigs, leaves, and seeds.

Although he was a lecturer at the School of the Royal Museum of Arts and Crafts, Blossfeldt was never formally trained as a photographer.

Blossfeldt used home made cameras and lenses to magnify his subjects up to 30 times their natural size. This resulted in sharp-focus realism, extreme clarity, and rigid compositions that look surprisingly avant-garde. 

Those images come from raw pixel public (free to download under the CC0 license) domain images They  have digitally enhanced these astonishing plant photographs in high-resolution printable quality.

Frida, Guillermo et la photo

Une ami m’a offert ce livre “Frida Kahlo, ses photos” qui contient essentiellement des photos retrouvĂ©es dans une armoire de la maison familiale de l’artiste. Le peu de texte qu’on y trouve permet  se rendre compte de l’importance de la photographie dans la vie et l oeuvre de Frida Kahlo et de l’influence de la passion paternelle pour la photographie.

Frida Kahlo s’intĂ©resse très jeune Ă  l’art, en particulier Ă  la photographie, sous l’influence de son père. L’artiste passe Ă©normĂ©ment de temps avec lui dans sa chambre noire, afin de retoucher des plaques et des photographies. Guillermo Kahlo prend Ă©galement un grand nombre de clichĂ©s de sa fille, de l’enfance Ă  l’âge adulte. Il rĂ©alise par ailleurs plusieurs autoportraits, qui ne sont pas sans rappeler ceux peints par Frida Kahlo.

Elle gardait des photos d’amis et de connaissances pour conjurer la solitude et pratiquait l’Ă©change de portraits d’amis ou de personnes admirĂ©es. Elles les annotait, les coloriait, les dĂ©coupait, les embrassait (marque de rouge Ă  lèvre). Parfois elle dĂ©coupait mĂŞme les tĂŞtes des photographiĂ©s dont l’identitĂ©s de certain n’a jamais Ă©tĂ© Ă©tablie.

En dĂ©couvrant, dans ce livre, une des origines de sont rapport au portrait et Ă  l objet papier qu’est l’image photographique, je me suis dit qu’aujourd’hui, Frida aurait Ă©tĂ© une  une virtuose absolue de photoshop!

Frida sut très tĂ´t exploiter la puissance artistique  de l’image “devant ou derriere l’appareil, elle se cree une personnalitĂ© nette et forte”

Frida dira: (P 21) : “Quand mon père me prit en photo après mon accident,  Je savais que le champs de bataille de la souffrance se reflĂ©tait dans mes yeux, des lors je rĂ©solus de regarder droit dans l objectif, sans ciller, sans sourire, dĂ©cidĂ©e Ă  monter que je serai une bonne lutteuse jusque au bout”

Son père prenait professionnellement des clichĂ©s industriels avait la passion de l’autoportrait. Ses photos Ă©taient personnelle. Il ne les publia et ne les exposa pas. Il a beaucoup utilisĂ© la photographie pour communiquer avec sa famille. Au fil des annĂ©es il Ă©tablit une communication plus visuelle que verbale, intense et mĂ©lancolique :“de temps en temps rappelez vous de l affection que votre père a toujours eu pour vous”.