Des gravures de mode du XIXe siècle (datées de 1866 😳) . À l’oeil nu on devine une gravure reproduite (très bien reproduite, belles ombres en hachures) et des couleurs qui semblent ajoutées .
J’ai lu que la production de gravures pour une revue nécessitait souvent le travail – d’un artiste pour le dessin et – d’un graveur pour l’impression. Les revues populaires étaient en mesure d’embaucher les meilleurs illustrateurs du moment. Certaines gravures sont en noir et blanc tandis que d’autres, de grande qualité, ont été coloriées à la main après leur impression.
J’ai aussi lu que jusque en 1898 le coloriage des gravures se faisaient à la main et que par la suite, c”est une machine qui apposait la couleur selon la technique picturale du pochoir: la peinture était appliquée couleur par couleur, à travers des plaques métalliques découpées (c’est peut être le cas pour celles-ci.)
Le truc un peu foufou c’est que le monsieur me les a vendues pour 50 centimes pièce. n’est-ce pas? 😳
Quand je les ai vues sur place, je me suis dit que j allais les scanner et faire papoter les dames de féminisme… un jour
Une amie artiste, pleine de ressource a commenté mon post instagram et m’a permis d’apprendre des trucs – Vive instagram 🙂 !