First contact with lettering variation / SECONDARY SCHOOL
Essaie de lettrage / ECOLE SECONDAIRE
(EN) Time flew by so fast! Two hours is such a short time to indulge ourself with graphic digressions around writing. At least, the children got to realise that shaping and organising letters is not as easy as it looks like.
(FR) Deux heures , c’est trop court pour se laisser aller à des digressions graphiques autour de l’écriture. Les enfants se sont, de fait, rendu compte de l’apparente facilité de l’exercice. Jouer avec le tracé des lettres et les organiser les unes par rapport au autres, tout en ne cassant pas le côté relaxant du moment doodle: pas si simple 😉
Début 2015, en réaction à l’attentat de Charlie Hebdo, les Éditions du Chêne ont décidé de publier la Déclaration universelle des droits de l’homme en beau livre illustré.
Trente-deux artistes contemporains illustrent les 30 articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme et donnent corps à ce texte fondamental.
Suite aux attentats du 13 novembre, les Éditions du Chêne ont décidé d’en publier une version poche
Les Illustrateurs
Rébecca Dautremer, Christophe Lautrette, Carlos Felipe León, Camille André, Gérald Guerlais, Maël Gourmelen, Lulu d’Ardis, Alexandre Puvilland, Caroline Piochon, Cyrille Bertin, Louis Thomas, Reuno, Sylvain Frécon, Sébastien Mourrain,Marc Boutavant, Kness, Lionel Richerand, Maumont, Luc Desmarchelier, Aline Bureau, Marc Lizano et Carole Trébor, Grégory Blot, Julien Rossire, Yasmine Gateau, Nicolas Bannister, Pascal Valdés, Sébastien Pelon, Nicolas Duffaut,Béatrice Bourloton, Jazzi, Pierre Alary
(EN) Today was the doodle monster day with a groupe of 7 children from 10 to 14 y.o. We sat around a large table and start drawing. I really enjoyed it. It was both quiet and interactive.
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(FR) C’était le jour du Doodle autour des monstres plutôt gentils. J’ai beaucoup aimé ce moment avec un groupe d’ado et pré-adolescents, suffisamment tranquille pour ouvrir la brèche aux digressions graphiques et assez interactif pour papoter par dessus les lignes.
Certain enfants préfèrent passer deux heures à perfectionner un dessin… d’autres, en revanche, investissent plus en avant l’esprit Doodle et se laissent aller à saisir tout ce qui passe pour en faire des lignes, sauter d’une image mentale a une autre.
Le thème, le matériels, les dessins des autres enfants et ceux du classeur d’inspiration sont autant de stimulis créatifs qui font de ce “Moment Doodle” un spectacle ravissant.
(FR)Le nougat vient d’Orient où les femmes fabriquaient la confiserie avec des amandes, du miel et des épices.
Il apparait en Grèce, puis à Marseille.
Montélimar devint la capitale du nougat lorsque les premiers amandiers importés d’Asie furent plantés à proximité de la ville, par un particulier nommé Olivier de Serre.
Maison Arnaud Soubeyran depuis 1837
Les Carolines
Chaudrons en cuivre !!!
Cuits à la flamme vive, les caramels sont au beurre salé,
fruits secs,
châtaigne,
chocolat,
orange
gingembre,
café!
Une gare totalement reconstituée.
Le train reliait le nord et le sud de la France.
Les voyageurs prenaient alors le temps de descendre pour acheter les fameux nougats
(ENGL) Born in Rodez in 1919, Soulages is also known as “the painter of black,” owing to his interest in the colour “both as a colour and a non-colour. When light is reflected on black, it transforms and transmutes it. It opens a mental field all its own.” He sees light as a work material, striations of the black surface of his paintings enable him to reflect light, allowing the black to come out of darkness and into brightness, thus becoming a luminous colour.
In 2007, the Musée Fabre of Montpellier devoted an entire room to Soulages, presenting his donation to the city. This donation includes twenty paintings dating from 1951 to 2006, among which are major works from the 1960s, two large plus-black works from the 1970s, and several largepolyptychs
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Les débuts de l’outrenoir?
(FR) “En janvier 1979, Soulages en travaillant sur un tableau ajoute, retire du noir pendant des heures. Ne sachant plus quoi faire, il quitte l’atelier, désemparé. Lorsqu’il y revient deux heures plus tard : « Le noir avait tout envahi, à tel point que c’était comme s’il n’existait plus ». Cette expérience marque un tournant dans son travail. La même année, il expose au Centre Georges-Pompidou ses premières peintures monopigmentaires, fondées sur la réflexion de la lumière sur les états de surface du noir, appelé plus tard « outre-noir »“.
” Ce qui est à l’œuvre, c’est la trace du geste non la recherche de forme en tant que signe, et son inscription dans l’espace de la toile ou du support ainsi que la matérialité de la peinture avec ses opacités et ses transparences. “ Ce qui m’intéresse […] ce n’est pas le geste mais son incarnation picturale […] je ne comprends rien à la calligraphie, je ne suis pas un peintre gestuel “
Pierre Soulages en entretien avec Bernard Ceysson, 1976
(ENGL) Author, Bernard Friot, will for ever be deeply rooted in our daughter’s childhood and,on the same occasion, our parenthood. He has written hilarious picture books tale. We love his poems and “histoires pressées”.
(FR) Bernard Friot sera pour toujours enraciné dans leur enfance et notre ‘parentalité’. On adore ses poèmes et ses ‘histoires pressées’!
Allez, une pour la route /come on, one story for the road!
POLI
“Moi, je suis poli. Mais ce n’est pas ma faute. Je suis trop timide. Alors, quand une grande personne me parle, je sais tout juste dire : « Bonjour, madame. Merci beaucoup. S’il vous plaît. Oui, monsieur … L’autre jour , maman m’a dit : « va porter ce pot de confiture à Mme Dulong-Debreuil. Mais dépêche-toi et , surtout, si elle t’invite à rentrer, dis-lui que tu n’as pas le temps. » Je suis donc allé chez Mme Dulong-Debreuil. Elle habite une vieille maison entourée d’un jardin à l’abandon, une vraie jungle. J’ai réussi tant bien que mal à me frayer un chemin et j’a frappé à la porte. -Oh bonjour, mon trésor, a dit Mme Dulong-Debreuil en m’ouvrant la porte. Comme c’est gentil de rendre visite à une vieille dame esseulée ! -Bonjour, madame, ai-je répondu poliment. Maman vous envoie… -Mais entre donc, mon trésor, m’a interrompu Mme Delong-Debreuil. Ne reste pas planté là, tu vas prendre froid. Je n’ai pas osé dire non, évidemment, et j’ai suivi Mme Delong-Debreuil dans son salon. D’un geste de la main, elle m’a désigné un vieux fauteuil défoncé. Poliment, je me suis assis. Catastrophe ! J’ai cru que je disparaissais dans une cuvette de W-C ! J’ai réussi in extremis à me rattraper aux accoudoirs. -Tu es bien installé, mon trésor ? M’a demandé Mme Delong-Debreuil de sa voix de crécelle. -Oui, madame, ai-je répondu poliment. Ensuite, j’ai senti une chose répugnante le long de ma jambe. -Ca ne te gêne pas ; mon trésor, si Pouffi s’installe sur tes genoux ? m’a demandé Mme Delong-Debreuil. -Non, madame, ai-je répondu poliment. Et Pouffi, après avoir escaladé ma jambe droite, s’est installé confortablement sur mes genoux. Il s’est même amusé à me chatouiller le nez avec sa langue fourchue. En plus, on ne s’imagine pas, mais un boa constrictor, ça pèse rudement lourd. Mme Delong-Debreuil m’a laissé deux minutes tout seul avec Pouffi, puis elle est revenue avec un verre à la main -Tiens, mon trésor, a-t-elle dit, je t’ai préparé un verre de jus de pomme. Effectivement ça ressemblait à du jus de pomme, mais ça n’avait pas la même odeur. Et quand j’ai commença à boire, je me suis aperçu que c’était du whisky. Mais bien sûr, je n’ai rien osé dire et j’ai vidé mon verre en faisant d’atroces grimaces, tellement ça me brûlait l’estomac. Ensuite, je me suis senti tout bizarre.. Et quand Mme Dulong-Debreuil m’a tendu la boîte à cigares, j’ai donné un coup de pied dedans, j’ai lancé son Pouffi par la fenêtre et j’ai dit à cette vieille sorcière : -Madame Delong-Debreuil, vous êtes une ….. Mais non, je ne peux pas le répéter. Je n’ose pas…. Je suis trop poli !”
Une année à passer en poésie – Pour découvrir des langages multiples, de nombreux textes, pour entrer dans un rythme, une musique, un espace, pour expérimenter aussi : essayer, oser, manipuler, inventer, imiter, rafistoler…pour aider le “(presque) poète” à affirmer sa voix.
(FR) Pas de scrupules à faire encore un peu de publicité !
At”La panacée” , the Contemporary Cultural Centre in Montpellier, we saw the exhibition “Anatomies of the Automaton“.
(ENGL) “Presented in the walls of what was one of the most prestigious universities of medicine, the exhibition takes as its point of departure the analogy of the human body and the machine to explore fantasies of artificial life. Between fascination and terror, this ambivalent figure highlights the mechanical side of humans as much as it reveals the paradoxical humanity of technical objects. Forty works of art have been placed side by side with documents and objects from the collections of the University of Montpellier: fragmented bodies, cyborg prostheses, anthropomorphic machines...”
(FR) Jusqu’au 28 février, la Ville de Montpellier présente à La Panacée une exposition originale : Anatomie de l’automate prend pour point de départ l’analogie du corps humain et de la machine pour explorer les imaginaires de la vie artificielle…. entre robots, vieux ouvrages médicaux venant de l’Université de Montpellier et œuvres d’art.
Une quarantaine d’œuvres d’art contemporain sont mises en regard de documents et objets des collections de l’Université de Montpellier : corps fragmentés, prothèses cyborgs, machines anthropomorphes… université de Montpelier
Anatomie de l’automate’ ne flirte pas avec la science-fiction et n’est pas non plus la relecture du mythe de Frankenstein. Cette exposition valorise, « à travers une trentaine d’œuvres dont la plus ancienne date de 1 886 et la plus récente est en cours d’achèvement, l’histoire de la médecine à Montpellier ». Montpelier Méditerranée métropole
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Cedric
Next to the Panacée entrance we saw small bicycles embedded into the wall!!!
J ai décidé de commencer une nouvelle série d’imprimés petit format appelée”sketchbook exploration” où j’ajoute une légère touche photoshop à certaines pages de mon carnets de croquis pour les habiller un peu.
FR: J ai décidé de commencer une nouvelle série d’imprimés petit format appelée”sketchbook exploration” où j’ajoute une légère touche photoshop à certaines pages de mon carnets de croquis pour les habiller un peu.
(ANGL) I add a tiny touch of digital color to some elements of my sketchbook so that it become a roughly edited sketch:a series called “sketchbook exploration“
(FR)J ai décidé de commencer une nouvelle série d’imprimés petit format appelée”sketchbook exploration” où j’ajoute une légère touche photoshop à certaines pages de mon carnets de croquis pour les habiller un peu.
I introduced the doodle to the children as “taking a random line with no specific meaning and develop it into a picture” Øistein Kristiansen.
(FR)
J’ai présenté l’activité du “doodle” aux enfants comme:
“Une errance de la main ou l’on utilise les lignes imprévues. Dessins aléatoires qui se développent sous forme d’obsessions et/ou par digressions, qui sont réunis dans un carnet spécialement conçu à cet effet..
Le doodle book est alors un outil de recherche pour des projets ou des inspirations futures en illustration, dessin, design…etc.
Cest un objet usuel, pratique.C ‘est aussi bel objet en lui même
La composition du doodle book est une inspiration en elle même, la manière dont la page est remplie, équilibrée, colorée…etc. donne son caractère à l’objet.
“She” is very different from the bull we saw in Saint Remy de Provence last November for the Feria- (Such a beautiful touristic place, by the way!).
We happened to stay there, the week-end the municipality would free Bulls in the streets for the Feria. Since we were on the spot, we had a look at it – Let’s say that was the first and the last time!
On the one hand we could feel very strongly that the all event was very deeply rooted within the local culture. People enjoyed it so much! May be because of the sense of togetherness produced by such a gathering. On the other hand, as a result of this cultural dimension, nobody seems to question the ritual, there was no room for it. The Bulls were obviously suffering, some of them were even crying.
It was not a Corrida, they did not kill the animal, lucky Bull and lucky us! – after his run within the closed street, the animal went up into the truck, and back home.
My cow was not inspired by the Ferria but I, somehow ,connected the two of them – It might be the black color…
My cow is quite relax and busy chatting with a Koï carp.
Elle est très différente des taureaux que nous avons vu à Saint Remi de Provence en Novembre (soit dit en passant c’est un superbe endroit)!
Nous nous trouvions sur place le jour du lâchage des taureaux dans les rues – pourquoi ne pas y jeter un coup d’oeil? – d’autant que l’atmosphère était plutôt à la fête ce jour là.
Ce sera notre première et dernière fois.
D’un côté, on pouvait ressentir que l’événement était très profondément encré dans la culture locale. Les gens s’amusaient. Il y avait une atmosphère de fêtes avec la mise en place des barrières, les affichettes un peu partout dans les rues, la musique espagnole…etc. Une dame à nos côté, nous a expliqué avec enthousiasme et convivialité ce qui allait se passer à la venue des taureaux. L’aspect traditionnel de l’événement réveillait une sorte de joie d’être ensemble dans la répétitions de gestes, de sons et d’odeurs.
D’un autre côté, la dimension rituelle de l’événement semblait prévenir tout questionnement, toute remise en cause. Par exemple, alorsqu’une personne s’inquiétait de la présence de jeunes enfants dans l’espace arène/rue, elle s’estentendu répondre
“Mais non, laisse faire, moi aussi quand j’était petit je faisait ça!”
Les taureaux souffraient (je n’ai pas mis la pire des photos où le taureau dérape pitoyablement sur le goudron), on l’entendait pleurer.
Heureusement pour le taureau, et dans une moindre dimension pour nous, il ne s’agissait pas d’une Corrida. Après son tour de rue, essoufflé de courir derrière des pré-adolescents et des jeunes hommes qui le sollicitaient de tous les cotés, le taureau rentrait dans son camion et “Au suivant!”
Ma vache n’est pas inspirée de cette Feria mais en postant l’image sur le site, je me suis souvenue de ces taureaux aussi noirs que ma vache avec une lueur bien différente dans le regard puisque cette dernière est en conversation animée avec une carpe Koï.
Sometime I like the sketchbook page rough as it is. Other times, I like it with just a tiny touch of Photophop or Illustator. It might become a more accomplished image … or not.
(FR)
Parfois j’aime les pages de mes “sketchbook” brutes. D’autres fois, comme ici, j’aime y ajouter une petite touche de Photoshop ou Illustrator. ça donne un dessin un peu plus aboutis … ou pas.