




© all images are copyright of Isabelle Stolar
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The Bacchante, 1853 is a painting by Jean-Léon Gérôme ( French painter and sculptor in the style now known as academicism. The range of his oeuvre included historical painting, Greek mythology, Orientalism, portraits, and other subjects, bringing the academic painting tradition to an artistic climax.)
A Bacchante in Roman mythology is a female follower of Bacchus, god of wine and intoxication. In Greek mythology, they are called Maenads. … Bacchantes are depicted as mad or wild women, running through the forest, tearing animals to pieces, and engaging in other acts of frenzied intoxication.
This painting or the bacchantes were not really my inspiration for the underneath portrait … some mental imagery are overlapping…
I thought there would be more paintings representing woman with rams’s horns other that this one from Jean Leon Gerome ( biography in French here)
sketches
FR / J’ai essayé (sur mes cartes postales #Luno) un générateur de couleurs au hasard mais il y en a beaucoup à explorer sur le web, ici et là, un peu partout, à explorer… Je pensai que le bleu dominait plus le projet.
ENGL / I tried color palette on my Luno postcards. It is based on the predominant colors in image – 4 art projects, web design or home decor. I only try one generator, there is plenty on the net to explore
I though blue was dominant. It is … but there is plenty of green too !
1840 s Duchess Zinaida Yussupova by Christina Robertson
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Des points Biographiques en vrac pour, éventuellement, piquer des curiosités:
J’ai trouvé cette photos sur pinterest avec pour seul ‘credit’: “two pals, 1920”. C Tout!
L’idée de travailler a partir de photos est de reprendre les lignes de l’image, l’énergie de la composition et progressivement au fil du dessin, se l’approprier sans trop y penser.
ici C’était un peu comme ‘croquer’ la connivence entre ces deux ‘guys’
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Flowers in the pattern Box !
Hors-série : “Cartier et les arts de l’Islam”
Article:” folies persanes”
Ce hors-série, publiée à l’occasion de l’exposition présentée au musée des arts décoratifs à Paris, revient sur les influences des arts de l’Islam sur les productions de bijoux et d’objets précieux de la grande maison de joaillerie Cartier, du début du XXe siècle à nos jours.
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Visite de l’exposition:
CARTIER ET LES ARTS DE L’ISLAM. AUX SOURCES DE LA MODERNITÉ du 21 octobre 2021 au 20 février 2022
Les dessins préparatoires de bijoux exposés à côté de leur réalisation précieuse étaient émouvants de par leurs lignes, leur matières et la convocation perceptible des savoir-faire d’artisans/artistes.
A la sortie du MAD, je me suis dit intérieurement, que que j’avais eu devant moi, le temps de cette visite, la définition, et la mise en forme brute, de l’Inspiration, au meilleur de son processus. Loin, très loin de la copie exacte ou la reproduction approximative. On percevait que ces lignes avaient été observées, admirées, habillées de subjectivités pour être mieux transformés, re-modelées sans jamais que l’hommage à la beauté née d’esprits nourris par la culture persane, ne soit oublié:
Plus tard, en lisant cette édition de “connaissance des arts”, j’ai compris comment un tel résultat a été rendu possible.
Pierre Cartier parcourait le monde avec la curiosité méthodologique d’un anthropologue observant les objets ainsi que les hommes qui les animent et les fabriquent. Il revenait vers ses ateliers parisiens, chargé d’images et d’ objets qu’il confiait librement à ses équipes, soit une sorte de “mood board” avant l’heure. Les artisans/artistes s’en inspiraient et rendaient, anonymement, les croquis de leur nouvelle créations, court circuitant la courses à aux égos pour, sans doute, et filtrant ainsi la quintessence du processus créatif inspiré de cette partie du monde, la Perse, dont le dessin et la réalisation de joaillerie avait/a tant à apprendre.
Ce parcours créatif est perceptible à la visite de l’exposition #cartieretlesartsdelislam.
Bijou en elle même
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Depuis cette exposition, il y a des patterns dans ma tête:
En voici un ci dessous – d’autres sont sur le portfolio: 1 – 2 – 3 – 4 – 5
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The source image is from a beautiful instragram account from photographer Ryan Resatka
étui à cigarette – 1930 – Paris
Or, Platine, turquoise, diamants, Lapi lazulli.
(picture from our visite)
Merveilleuse exposition!
Une mine pour inspiration de motifs!
Un nombre impressionnant de croquis près de leurs réalisation d’une incroyable complexité de design et de savoir-faire technique.
Au MAD, Paris
Exposition co-produite par le Musée des Arts Décoratifs, Paris et le Dallas Museum of Art, avec la collaboration exceptionnelle du musée du Louvre et le soutien de la Maison Cartier.
… “montre les influences des arts de l’Islam sur la production de bijoux et d’objets précieux de la Maison de haute joaillerie, du début du XXe siècle à nos jours. Plus de 500 pièces – bijoux et objets de la Maison Cartier, chefs-d’œuvre de l’Art islamique, dessins, livres, photographies et documents d’archives – retracent ainsi l’origine de cet intérêt pour les motifs orientaux. “
https://madparis.fr/Cartier-et-les-arts-de-l-Islam-Aux-sources-de-la-modernite-2028
“The Prom: Escapism in General Sewing”
#promdream #legend
Au rez de chaussée, on a vu des pieces dessinées en toute précision pour cette exposition, les ‘sur’ et les structuraux ‘sous’ vêtements de bal, depuis le 18 eme siècle, la guerres mondiale, la grande dépression, jusque dans les années 80. ou comment le bal, depuis ses origines européennes jusque dans les soirees d Hollywood constitue un billet d entré dans un certain monde
A l étage “The Modern Ball: Israeli Couture“, donne un aperçu de l industrie israélienne de la haute couture et de sa reflexion sur une société aux singularités cuturelles plus ou moins ouvertes sur l’extérieur, toutes concernées par l’habit de bal et participant d une réflexion philosophico-artistique rendue visible par cette exposition. Point de vue captivant. En cette période de covid, le fond et la forme furent bienvenues …
La partie sur les souliers de vair/vert m’a moins saisie: des chaussures transparentes imprimées en 3D. Mon intérêt décrocheur fut plus une histoire de timing qu’autre chose, me semble-t-il.
En ce qui concerne “les gateaux /chapeaux” –“The Whipping Room and the Mad Hatter,” -je n’ai pas du comprendre le propos… des dessert, comme un rite de passage des grands évènements… On ne pouvait pas ne pas penser à “Alice “, c’est certain. Il s”agissait de vrais desserts sculptés à la main! sur des chapeau et/ou en forme de chapeaux… avec 1000 heures de vie … si si si ! je suis passée à côté, là aussi. les sculptures de macarons: pas mon truc.
(Quelques articles (svt en anglais) sur l’exposition en fin de post)
(FR)
Le Musée du Design de Holon est le premier musée consacré au design en Israël. Le bâtiment du musée a été conçu et dessiné par l’architecte et designer industriel israélien Ron Arad en collaboration avec l’architecte Bruno Asa.
(EN)
ARTICLES & VIDEOS RELATED
“When I started to work on it, people asked why it’s so important in our lives. And then escapism became the central thing in our lives all over the world.”
“The first part of the exhibition is dedicated to the history of proms. They developed in the middle ages in Europe, and were closed to the aristocracy and the rich. Through fairy tales, proms became available for everyone to imagine, to dream and to become a part of the escapism,” says Keydar.”
… “To give the Israeli take on the ball, Keydar invited dozens of Israeli designers to participate in the exhibition, among them Sharon Tal of Maskit, Shahar Avnet, Vivi Bellaish and Alon Livne.”
…” a multi-sensory theatrical exhibition of dress and evening wear designs”
“we wanted to go beyond the traditional fashion exhibition presentation and form a new language that allows the visitors to feel as if they are both spectators and participants,” said Maya Dvash,
“120 gowns and 50 accessory pieces are presented with sound, music, scenery, and lighting, creating an immersive space that encourages a dialogue with visitors revolving around Israeli fashion, culture, and society. “
“The Ball” goes beyond the opulent surface of fashion design, and delves into its connection with the community of designers and users. “
Style curates (article /more pictures from the exhibition)
“In a groundbreaking exhibition that draws parallels between fairytales and high fashion, The Museum at FIT presents red hoods, ballgowns, ruby slippers and other fashion finds buried in tall tales written by the Brothers Grimm, Hans Christian Andersen and others.”
Middle east.in list ans analyse the artist participation to the exhibition:
For instance one of (from my point of view) the most impressive creation was “My Jewish Wedding” by Tal Medina”.
She “Uses wallpaper, silk and wool, feathers and synthetic furs. The models participated in a final project in the fashion design department, Shenkar. The project deals with closed communities from the ultra-Orthodox current and examines the tension between culture, faith and conformity, and between independent thought, freedom and individuality. The collection combines wallpaper, silk and wool fabrics identified with the ultra-Orthodox clothing, and feathers and synthetic furs, which are reminiscent of the animal world.”